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110. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Pieces intriguées par le hasard. » pp. 223-240

Alors l’action est conduite à sa fin par l’éclat que doit faire nécessairement la tromperie de Jupiter ; & ce Dieu est obligé de se découvrir aux dépens mêmes de l’honneur d’Alcmene.

111. (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405

Dieu sait si, me voyant ainsi le vent en poupe, Je devais être gai ; mais le soin de la soupe, Dont il fallait remplir vos ventres et le mien. […] Je remercie Dieu de cette rencontre, et suis, monsieur… C. […] Je ne suis point cocu ni ne le saurais être, Et j’en suis, Dieu merci, bien assuré. […] Priez Dieu pour le repos de son âme. […] Car, la Dieu merci, les histoires anciennes, comme Mathéolet, Juvénal, Les Quinze joies de mariage et autres plusieurs dont je ne sais le compte, font mention de diverses tromperies, cautèles, abusions et déceptions en cet état advenues.

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