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3. (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83

Célimène… mon Dieu ! […] Si Alceste pouvait l’oublier, Célimène le lui rappellerait bien vite. […] mais, dit Célimène, est-ce que vous allez m’étrangler ? […] interrompt Célimène avec le plus parfait accent de surprise, Oronte ! […] Célimène a le tort d’écrire, — il ne faut pas écrire !

4. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

Célimène donc est veuve, et cet état explique sa coquetterie. […] Célimène a de l’esprit ; mais quel esprit ? […] Cet esprit est celui de Célimène. […] Célimène est coquette, Alceste est la franchise même ; Célimène aime le monde, Alceste le hait ; Célimène se complaît dans tous les jeux d’esprit et dans ce commerce galant qui excite l’indignation d’Alceste. Et pourtant Alceste adore Célimène.

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