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114. (1855) Pourquoi Molière n’a pas joué les avocats pp. 5-15

Et pourtant, à cette époque, la profession d’avocat, naguère illustrée par Lemaistre, jetait assez d’éclat pour attirer les regards; c’était le temps où brillait Patru, l’ami de Boileau, de Racine, de la Fontaine; le temps où la foule se pressait aux plaidoyers de Gaultier, oublié aujourd’hui, mais alors célèbre.

115. (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47

Le travail littéraire, l’œuvre d’art, que ce soit une modeste satire pour Boileau ou une grande tragédie pour Racine, l’œuvre d’art les absorbe, les transporte et leur suffit. […] Ou bien devons-nous nous en rapporter au grand juge littéraire du xviie  siècle, à ce pauvre Boileau, qui admirait et recommandait la comédie de Molière pour sa « naïveté » ?

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