Agnès. […] Agnès. […] Agnès. […] Agnès. […] Agnès.
Cela est sans contredit juste et parfaitement écrit ; mais à la suite, quand Agnès déclare à son tuteur qu’un jeune homme, malgré tous les obstacles, a trouvé le moyen de s’introduire près d’elle et de lui plaire, le tuteur se plaint d’avoir perdu tous les soins qu’il a pris pour lui plaire lui-même ; Agnès lui répond : Vraiment, il en sait donc là-dessus plus que vous, Car à se faire aimer il n’a pas eu de peine. […] Arnolphe a, pour se rassurer, l’innocence d’Agnès qui demanda un jour, Avec une innocence à nulle autre pareille, Si les enfants qu’on fait se faisaient par l’oreille. […] Mais ce qui paraît aujourd’hui le plus étonnant dans la pièce, c’est la scène vi du 2e acte, où Arnolphe, informé des visites que le jeune amant a faites à Agnès pendant son absence, veut savoir les particularités de leurs entretiens. […] Agnès. […] — Ne vous a-t-il point pris, Agnès, quel qu’autre chose ?