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165. (1735) Moliere (Supplément au Grand Dictionnaire historique) « MOLIERE, (Jean-Baptiste Poquelin) poëte comique, etc. » p. 82

Il apprit un peu à lire et à écrire, et du reste il ne connut jusqu’à quatorze ans que la boutique de son pere, et l’état qu’il exerçait.

166. (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790

Arnauld20, qu’on ressent plus le manquement qu’a nostre langue de certains mots, quand on traite des matieres de science, que quand on parle ou qu’on écrit des choses communes de la vie civile. […] C’est par là que Moliere illustrant ses écrits Peut-être de son Art eût remporté le prix ; Si moins ami du peuple en ses doctes peintures, Il n’eût point fait souvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon, l’agreable & le fin, Et sans honte à Terence allié Tabarin. […] Perrault qui a écrit ces Eloges assûre, que Moliere naquit avec une telle inclination pour la Comedie, qu’il ne fut pas possible de l’empescher de se faire Comedien.

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