C’était, dit Voltaire, l’ouvrage d’un sage qui écrivit pour les hommes éclairés, et il fallut que le sage se déguisât en farceur pour plaire à la multitude.
Il n’a manqué à Molière que d’éviter le jargon, et d’écrire purement : quel feu !
C’était, dit Voltaire, l’ouvrage d’un sage qui écrivit pour les hommes éclairés, et il fallut que le sage se déguisât en farceur pour plaire à la multitude.
Il n’a manqué à Molière que d’éviter le jargon, et d’écrire purement : quel feu !