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131. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [91, p. 135] »

C’était, dit Voltaire, l’ouvrage d’un sage qui écrivit pour les hommes éclairés, et il fallut que le sage se déguisât en farceur pour plaire à la multitude.

132. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [42, p. 72-73] »

Il n’a manqué à Molière que d’éviter le jargon, et d’écrire purement : quel feu !

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