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117. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

» M’écriai-je un moment, tout transporté d’amour ; Qu’avec ma liberté je perde aussi le jour l Je mourrai glorieux, si Bélise incrédule Peut croire que je meurs comme un autre Catulle. […] Lauzun ou Richelieu lui paraissaient bien plus poètes que son mari dans leur jeunesse altière et victorieuse. — Et Molière comprenait cela, aussi se frappait-il douloureusement le cœur en s’écriant : — C’est ma faute ! […] Et la servante des suppliants leur en ayant donné avis dans le lit où ils étaient encore, iceux se seraient écriés que l’on courût après pour essayer à les attraper, ce qui n’aurait pu être fait attendu qu’il était de grand matin. […] Mlle Desmares ne perdit pas de temps pour dire tout haut que c’était la volonté de Monseigneur, C’est mon coup de grâce, s’écria Mlle Beauval. […] Elle s’écriait comme le spectateur des Précieuses ridicules : « Bravo, monsieur de Molière, voilà la comédie ! 

118. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19

Enfin Lidame saisit l’Etourdi par la main, qui, sans contrefaire sa voix, s’écrie, je suis Philipin.

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