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145. (1900) Molière pp. -283

Vous pouvez regarder, rue Richelieu, sa statue ; elle est impassible, elle est très belle, et respire le génie. […] Elles sont les plus belles du monde ; souffrez que je les baise, je vous prie. […] Et Mathurine, et Charlotte qui se laissent tourner la cervelle par les beaux discours de Dom Juan ! […] L’esprit a beau rire et se moquer. […] Au fait, il fera beau voir Hannibal consulté sur le passage des Alpes.

146. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261

Entrez, beau Cavalier. […] Entrez, beau Cavalier. […] Entrez, beau Cavalier. […] Baron, non content d’affoiblir la plus belle situation en substituant la mere de l’amante à l’amante même, acheve de gâter par ses personnages le sujet traité par Moliere & Cicognini. […] Je me souviens d’avoir vu Philumene ; elle est belle, & Pamphile est excusable d’aimer mieux l’avoir la nuit au-près de lui, que de la savoir entre les bras d’un autre.

147. (1901) Molière moraliste pp. 3-32

« Ils savent, la plupart, de fort belles humanités, savent parler en beau latin, savent nommer en grec toutes les maladies, les définir et les diviser ; mais pour ce qui est de les guérir, c’est ce qu’ils ne savent point du tout… » Voyons maintenant quelles sont les opinions scientifiques de ces Diafoirus père et fils en qui Molière semble incarner tous les ridicules de la médecine. […] Jourdain, pour être naturel jusqu’au primitif, n’en est pas moins grotesque quand il fredonne : Je croyais Jeanneton aussi douce que belle. […] Pensez-vous qu’un nom grec donne plus de poids à vos raisons, et ne trouveriez-vous pas qu’il fût aussi beau de dire l’exposition du sujet que la protase, le nœud que l’épitase, et le dénouement que la péripétie. […] Belle, froide, tour à tour orgueilleuse et méprisante, souple et câline, faussement emportée, Angélique s’entend à conserver toutes les apparences de la pudeur et de la vertu. […] Il savait bien que la pure vertu n’est pas de ce monde, le poète qui, dans la préface du Tartuffe, écrivit : « Je ne sais s’il n’est pas mieux de travailler à rectifier et à adoucir les passions des hommes que de vouloir les retrancher entièrement. » Molière souffrait de cette nécessité d’accommoder avec la médiocrité humaine cette pensée pure qui se trouve chez les meilleurs d’entre nous et les emporte vers le juste, le beau, le vrai.

148. (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397

      Avant qu’un peu de terre obtenu par prière, Pour jamais sous la tombe eût renfermé Molière, Mille de ces beaux traits aujourd’hui si vantés, Furent des sots esprits à nos yeux rebutés. L’ignorance et l’erreur à ses naissantes pièces, En habit de marquis, en robe de comtesses, Venaient pour diffamer son ouvrage nouveau, Et secouaient la tête à l’endroit le plus beau. […] Il l’a traitée avec tant d’art dans la huitième partie de son roman, et l’a enrichie d’incidents si bien imaginés, que si le théâtre, dont l’action est plus resserrée, les avait pu souffrir, il aurait été impossible d’y faire jamais rien paraître de plus beau, ni de plus surprenant. » 1658. […] Il n’en va pas de même de son cadet ; et quoique ce soit une divinité parmi les comédiens, les encens qu’on lui donne ne sont pas si généraux que ceux de son frère : ne croyez pourtant pas que j’en veuille dire du mal ; au contraire, je tiens que c’est celui de tous les auteurs qui pense plus profondément : et sans doute l’envie avouera elle-même que son Stilicon est tout à fait beau. […] Les uns disaient que véritablement la pièce était belle, mais que le jeu faisait une partie de sa beauté, les autres ajoutaient que la rencontre du temps où l’on parlait fort des Précieuses aidait à la faire réussir, et qu’indubitablement ses pièces n’auraient pas toujours le même succès, quand le temps ne les favoriserait pas.

149. (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492

Comment surtout ne pas faire étalage devant eux des belles expressions et des belles manières qu’on avait apprises en un grand mois passé dans quelque hôtel garni du Marais ou du faubourg Saint-Germain ? […] Le malheur est qu’on avait affaire à des parents, à des amis, à des voisins grossiers, qui, n’entendant rien aux grands airs et au beau langage, s’en moquaient, au lieu de les admirer. […] Mais, comme j’ai déjà eu occasion de le faire observer, on n’en jugeait pas avec la même sévérité dans ce beau siècle où pourtant les plus étroites bienséances semblaient régir la société entière. […] Madame, avait répondu Ménage, j’ai vu la pièce ; elle est parfaitement belle ; on n’y peut trouver à redire ni à critiquer. […] Oui, la pièce est parfaitement belle, et la critique la plus sévère n’a presque rien à y reprendre.

150. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138

Une dame, alors belle, bien faite, mere d’une très jolie actrice, donna une petite piece. […] Belle nouveauté ! […] Belle conséquence ! […] Lionetto devint amoureux de Claudia, fille d’un certain Albert, qui dans ce temps-là étoit dans sa ville ; mais l’ayant vu partir peu de jours après, avec la belle Claudia, pour Genes, il brise la cassette de son pere, emporte l’argent, les bijoux, & s’embarque pour suivre ce qu’il aime. […] Elle est jalouse, & n’a jamais eu d’amants ni de charmes ; & le premier soupirant qui aura le courage de l’aimer, fera naître une belle passion.

151. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122

Qu’on ne joue ses pieces que deux fois l’année : qu’on ne les donne pas les petits jours, c’est-à-dire ceux où la plus extravagante des étiquettes interdit le spectacle françois au beau monde : que les premiers acteurs ne dédaignent pas d’y jouer, & n’abandonnent pas leurs rôles à leurs subalternes, je leur garantis des chambrées complettes. […] Un Auteur aura beau vous soutenir dans une préface que le genre prétendu nouveau & philosophique mérite la préférence sur celui de Plaute, de Térence, de Moliere ; croyez qu’il ne le pense pas, & dites-lui avec Dorine 24 : Non, vous avez beau faire, On ne vous croira pas. […] Peut-être même les acteurs qui jouent nos drames les embellissent encore en y faisant les beaux bras & en contrefaisant les zélés convulsionnaires de St.  […] Les Anciens ont beau leur dire : « Messieurs, non contents de corrompre le goût, vous vous perdez vous-mêmes.

152. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338

Nos aïeux, du treizième au seizième siècle, avaient été les premiers à dépenser dans ce genre de facéties leur malice et leur belle humeur. […] Ce serait un beau secret. […] Mais quand tout vous rit, et que le monde est bien infatué de vos richesses, il faut prendre à toute main l’argent qu’on vous offre, faire grande dépense à l’ordinaire ; et puis un beau matin, après avoir mis tous vos meilleurs effets dans une cassette, déloger à petit bruit, et donner ordre à votre portier de dire à tout le monde qu’on ne sait où vous êtes allé. […] Du beau sexe ils sont tous chéris, Sans combattre ils chantent victoire ; Heureux les bourgeois de Paris ! […] On irait là les examiner, on les mettrait au pas, à l’entre-pas, on les ferait trotter, galoper, et, sans s’amuser à la belle encolure qui souvent attrape les sottes, on ne prendrait que ceux qui ont bon pied, bon œil, et dont on pourrait tirer un bon service.

153. (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284

L’homme du bel air, le sieur Le Gros. Second homme du bel air, le sieur Rebel. Une femme du bel air……… Seconde femme du bel air……… Un Gascon, le sieur Gaye. […] Ménage ne lui fit point d’autre réponse que celle-ci : “Madame, j’ai vu la pièce, elle est parfaitement belle, on n’y peut rien trouver à redire, ni à critiquer.” » (Si ce récit est vrai, il fait honneur à Ménage.) […] « [*]En effet, y a-t-il rien de plus beau que le premier acte du Bourgeois gentilhomme ?

154. (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252

Beau trait de Boursault envers Boileau. […] Il est probable que ses camarades et lui parcoururent ensuite le Midi jusqu’à la fin de la belle saison. […] La jambe en devient-elle Plus tortue, après tout, et la taille moins belle ? […] Belles railleries ! […] Il prit donc la poste un beau matin, et, oublieux de la foi jurée, se mit à courir sur la route de Douvres.

155. (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790

Plusieurs personnes assûrent que ses Comédies surpassent ou égalent tout ce que l’ancienne Grece & l’ancienne Rome ont eu de plus beau en ce genre-là (B). […] (B) Plusieurs personnes assûrent que ses Comédies surpassent ou égalent tout ce que l’ancienne Grece & l’ancienne Rome ont eu de plus beau en ce genre-là. […] Montrez aux Dames d’esprit certaines pensées d’Horace, d’Ovide, de Juvenal, &c. ; montrez-les leur en vieux Gaulois ; faites-en la Traduction la plus plate qu’il vous plaira, pourvu qu’elle soit fidelle, vous verrez que ces Dames conviendront que ces pensées sont belles, délicates, fines. […] Un époux si extraordinaire auroit pu lui donner des remords, & la rendre sage : sa bonté fit un effet tout contraire ; & la peur, qu’elle eut de ne pas retrouver une si belle occasion de s’en separer, lui fit prendre un ton fort haut, lui disant qu’elle voyoit bien par qui ces faussetez lui étoient inspirées ; qu’elle étoit rebutée de se voir tous les jours accusée d’une chose dont elle étoit innocente ; qu’il n’avoit qu’à prendre des mesures pour une separation, & qu’elle ne pouvoit plus souffrir un homme, qui avoit toûjours conservé des liaisons particulieres avec la de Brie13, qui demeuroit dans leur maison, & qui n’en étoit point sortie depuis leur mariage. […] Colbert fut chargé de faire choix des plus habiles Acteurs qui restoient dans la troupe du Palais Roial, & des plus habiles de celle du Marais, & d’en former une belle troupe sous le nom de la Troupe du Roi.

156. (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38

Elle n’est pas non plus impromptue; elle est travail, elle est effort, comme presque toutes les belles choses. […] Rien ne manque de ce qui fait l’œuvre dans toute la belle richesse du mot! […] La mode, ce despote en enfance qui s’amuse de tout (même du beau!) […] vous ne chercherez pas, mais vous auriez beau chercher, pas une relique ne traîne du temps où les cœurs vertueux aimaient à voir lever l’aurore au théâtre. […] J’ai mon don Quichotte aussi : un beau !

157. (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316

En effet, le grave précepteur du Dauphin ne s’était-il pas livré pendant sa jeunesse à une inquiétante métromanie, où l’entraînèrent une imagination ardente et l’amour d’une belle Sedanaise, qu’il chantait sous le nom allégorique d’Iris ? […] Sans aucun doute, les contemporains ont placé des noms connus au bas de chacun de ces portraits, et plus d’un de ces beaux de cour, se donnant en spectacle sur les bancs de l’avant-scène, a dû offrir au public le malin plaisir de comparer la copie à l’original. […] « J’ai beau voir ses défauts et j’ai beau l’en blâmer, En dépit qu’on en ait, elle se fait aimer...» […] XIII, p. 66 et suiv., passim. — A l’époque du Misanthrope de Guiche avait 28 ans et était au plus beau moment de sa carrière; de Lauzun en avait 34, et trois ans plus tard prenait le chemin de la Bastille. […] Tasohereau, semble n’être qu’une paraphrase du vers charmant de la Fontaine « Et la grâce plus belle encore que la beauté. » Pour ce qui est de la ressemblance du portrait de Lucile avec Armande, consultez les lettres de Mlle Poisson, insérées au Mercure de France, mai 1740, pp. 845-849.

158. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75

Si la pupille, au lieu de n’avoir que dix-huit ans, en a vingt-huit, elle doit être très raisonnable ; il n’est plus si beau à elle de sacrifier un jeune fat à un homme sensé : si elle n’en a que douze ou treize, son choix aura l’air d’un enfantillage. […] Ici le Marquis, en faisant l’énumération des défauts d’Hortense, prend occasion de louer les belles qualités de la Comtesse. […] Vous avez la plus belle santé !... […] La belle chûte ! […] Le beau sujet à divertir la Cour que Monsieur Boursault !

159. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218

Anselme étoit devenu très passionnément amoureux d’une très belle personne de la même ville ; & c’étoit un parti si grand, & pour le bien & pour l’alliance, qu’il résolut, avec le consentement de son ami, sans quoi il ne faisoit rien, de la demander en mariage. […] Mais cette retenue de Lothaire, & le silence qu’il gardoit, eurent à la fin un effet tout contraire à celui qu’il en attendoit, & les charmes de cette belle personne ne manquerent pas de faire sur lui l’impression qu’il en craignoit. […] « Il eût été beau, me dira-t-on, de voir Julie s’armer d’un poignard pour tromper Léandre, & pousser la feinte jusqu’à se frapper » ! […] Vous me la donnez belle, Avec vos savants ! […] Pasquin a beau lui représenter qu’elle a tort de n’être pas venue au monde vingt ans avant son maître, elle n’entend pas raison.

160. (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873

Bien des gens assûrent que ses Comedies surpassent ou égalent (B) tout ce que l’ancienne Grece & l’ancienne Rome ont eu de plus beau en ce genre-là . […] Joignons à ces vers Latins cette épitaphe Françoisee : Cy git qui parut sur la Scene Le singe de la vie humaine, Qui n’aura jamais son égal, Qui voulant de la Mort, ainsi que de la Vie, Estre l’imitateur dans une Comedie, Pour trop bien reüssir, y reüssit fort mal ; Car la Mort en estant ravie, Trouva si belle la copie, Qu’elle en fit un original. […] Montrez aux Dames d’esprit certaines pensées d’Horace, d’Ovide, de Juvenal, &c. montrez les leur en vieux Gaulois ; faites en la traduction la plus plate qu’il vous plaira, pourveu qu’elle soit fidelle, vous verrez que ces Dames conviendront que ces pensées sont belles, délicates, fines. […] Un époux si extraordinaire auroit pu lui donner des remords, & la rendre sage : sa bonté fit un effet tout contraire ; & la peur qu’elle eut de ne pas retrouver une si belle occasion de s’en separer, lui fit prendre un ton fort haut, lui disant qu’elle voyoit bien par qui ces faussetez lui étoient inspirées ; qu’elle étoit rebutée de se voir tous les jours accusée d’une chose dont elle étoit innocente ; qu’il n’avoit qu’à prendre des mesures pour une separation, & qu’elle ne pouvoit plus souffrir un homme, qui avoit toûjours conservé des liaisons particulieres avec la ade Brie, qui demeuroit dans leur maison, & qui n’en étoit point sortie depuis leur mariage.

161. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « [Introduction] » pp. 1-4

Convenons qu’il ne sera question ici que de la belle nature, telle que l’a imité Moliere dans les parties & l’ensemble de ses meilleures pieces ; telle enfin que doit la voir un Philosophe qui se propose de corriger & de faire rire les hommes en leur peignant au naturel leurs gestes, leurs traits, leurs travers, leurs ridicules, leurs vices, enfin toutes les vérités que leur amour-propre leur déguise, ou qu’il tient cachées sous les replis du cœur humain. […] d’Aguesseau, si je ne me trompe, s’est laissé éblouir par le brillant de sa comparaison : la lunette d’approche peut fort bien ressembler aux mauvaises imitations qui rapprochent également les beautés & les défauts : mais pour nous donner une idée juste de la bonne imitation, il faudroit supposer une lunette qui laissât dans le lointain tout le laid, & ne réunît sous nos yeux que le beau.

162. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. » pp. 489-499

Bel azur, beau corail, aimables qualités ! […] tout beau !

163. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. M. DE SAINT-FOIX. » pp. 288-296

C’en est trop ; écoutez : si je me mets moi-même en liberté, je vous attraperai à mon tour, & vous aurez beau dire, comme tantôt, j’appellerai, j’appellerai, vous me paierez tout ceci. […] La brune me dit : Voici ce que nous avons imaginé : le gentilhomme est arrivé en bonne compagnie, il est engagé au jeu, il n’en sortira que dans une heure ; il faut que vous vous laissiez emmaillotter comme une momie ; nous vous coefferons de nuit en femme, & nous vous mettrons dans le lit destiné au gentilhomme, nous tirerons les rideaux ; dès qu’il voudra se coucher, vous lui direz que vous êtes la belle Cléopatre qui sort de son tombeau pour passer une nuit avec lui. […] Les fripponnes me mirent des mouches ; elles se récrioient, en me disant : Mon Dieu, qu’il est beau en femme !

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