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159. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278

De son côté, madame Scarron dut être émue des paroles du roi, de ces paroles qui ne purent être proférées sans l’accent et sans les regards qui en étaient l’accompagnement naturel.

160. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143

Monsieur, Après avoir vu d’un côté que vous aviez dessein d’établir quelques Officiers subalternes, pour avoir inspection sur certaines petites choses auxquelles vous ne sauriez prendre garde vous-même, & remarqué de l’autre qu’il se commet tous les jours de lourdes bévues dans les enseignes de cette ville, au grand scandale des étrangers, & de ceux de nos patriotes qui en sont les curieux admirateurs, je vous prie, en toute humilité, de vouloir bien me choisir pour votre surintendant. . . . . parceque, faute d’un tel officier, on ne voit rien dans ces objets qui se présentent par-tout à nos yeux, qui sente la belle littérature ou le bon goût.

161. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190

Donc, pour m’être un peu trop hâté, Je suis navré par le côté.

162. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292

Comme le butor est toujours à ses côtés, Arlequin s’imagine que c’est la mélancolie qui lui trouble la vue et lui présente des objets fantastiques.

163. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184

Nous avons vu le Tartufe sortir informe du théâtre italien, nous l’avons vu embelli par Moliere, nous l’avons vu défiguré par deux Auteurs modernes ; encore un pas vers la barbarie, nous le verrons retourner vers sa source & figurer de nouveau à côté d’Arlequin : la chose seroit risible. […] Une fois possesseur du château de la Dame, il devint indifférent pour ses charmes : la Dame, de son côté, ne voulant pas être ingrate, eut pour lui l’indifférence la plus complette, & choisit pour son vengeur le Prieur de Meseray, son voisin & son Chapelain.

164. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421

Je change de maintien ; je fais un aparté,  Assez haut pour être, à la ronde,  Très bien ouï de tout le monde, Mais que l’on ne doit pas entendre à mon côté.

165. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Des Comédies Héroïques. » pp. 9-29

Il pousse aussi-tôt de ce côté-là, & joint les Députés comme ils étoient près d’arriver : c’est par son arrivée que l’aventurier Carlos est reconnu pour le Prince Don Sanche, après quoi la Reine D.

166. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122

Il prie Hégion de voir l’action de Tindare du bon côté, & de lui pardonner : il lui en fait remarquer toute la magnanimité, mais il ne peut rien obtenir ; le vieillard est infléxible, la nature ne lui dit rien en faveur de son fils : la sentence qu’il a portée est exécutée : Tindare, chargé de chaînes, est jetté dans les carrieres.

167. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124

Un instant après le jeune homme lui dit tout bas qu’il souhaiteroit de l’embrasser ; elle répond qu’elle fera semblant de tomber, & que se trouvant à côté d’elle pour la relever, il pourra lui faire une embrassade.

168. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX & dernier. Des causes de la décadence du Théâtre, & des moyens de le faire refleurir. » pp. 480-499

Les Auteurs écrivent que c’est la faute des Comédiens & du Public ; de son côté le Public en accuse les Auteurs & les Comédiens ; ceux-ci ne manquent pas de s’en prendre aux premiers.

169. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE V. L’Éducation des Femmes. » pp. 83-102

Et à côté s’en place un autre non moins élevé : c’est qu’un maître sage doit régner par le cœur.

170. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200

Mais vous ne seriez pas ce dont vous vous vantez, Si ma mere n’eût eu que de ces beaux côtés ; Et bien vous prend, ma sœur, que son noble génie N’ait pas vaqué toujours à la philosophie.

171. (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369

Elle répond que la chose sera facile, qu’elle fera semblant de tomber, et que le trouvant en ce moment à côté d’elle pour la relever, il pourra aisément l’embrasser ; leur projet réussit. […] Riccoboni tâche, autant qu’il lui est possible, de rapprocher toutes les idées du théâtre du côté des poètes italiens ; c’est pourquoi, malgré les louanges qu’il donne à Molière, il veut que ce grand auteur comique ait puisé le fond de L’École des maris chez les auteurs de sa nation, et ne dit pas un mot de Térence, à qui Molière doit la principale idée de sa comédie. […] Pour premier et charmant régale, Avant cette chère royale, Où raisonna maint violon, Dans une salle ou beau salon, Pour divertir seigneurs et dames, On joua l’École des femmes, Qui fit rire Leurs Majestés, Jusqu’à s’en tenir les côtés ; Pièce aucunement instructive, Et tout à fait récréative, Pièce, dont Molière est auteur ; Et même principal acteur : Pièce qu’en plusieurs lieux on fronde, Mais où pourtant va tant de monde, Que jamais sujet important, Pour le voir n’en attira tant.

172. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64

Si Gassendi a consacré tant d’érudition et de travail à reconstruire et à réfuter la philosophie d’Épicure, c’était pour mettre en lumière le côté solide de la logique épicurienne, qui est le respect pour l’observation, si étrangement méconnue par Descartes lui-même (Voir surtout Discours sur la Méthode, IVe partie ; Les Météores, Discours I et VII, etc.) : Syntagma philosophiœ Epicuri, canonica pars I, cap.

173. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341

& quel chagrin pour une mere vertueuse qui ayant conduit sa fille au spectacle en croyant lui procurer un plaisir innocent, se voit forcée de rougir doublement à ses côtés !

174. (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352

La Fontaine est bien de la même trempe, sincère avec lui-même, indiscret et très clairvoyant du côté du prochain.

175. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192

Si pur que soit l’amour d’Alcmène pour son époux, si indigne que soit le crime de voler par ruse à une honnête femme ce qu’on n’a pu obtenir d’elle par la séduction, de quel côté sont les rieurs ?

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