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113. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70

Les deux époux armés restent un instant seuls sur la scene ; Scapin vient se jetter entre eux, leur demande quel est le sujet de leur querelle.

114. (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151

Le nom de Bejard resta cependant à la prétendue Armande-Grésinde, qui prend seulement le prénom de Grésinde, le 31 mai 1677, dans l’acte de célébration de son second mariage avec Isaac-François Guérin, en sorte qu’elle n’est pas d’accord avec elle-même en supprimant ici son premier nom de baptême.

115. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393

Il restait cependant une difficulté : madame de Montespan, ajoutait-on, paraîtra-t-elle devant le roi sans préparation ?

116. (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347

Mais pour rester fidèle à la vérité, j’aime mieux avouer que, dans cette attaque générale, personne ne porta à l’ennemi commun des coups plus directs que le rival de Descartes, et conclure cette première discussion en confessant que Molière est ici le disciple de Gassendi. […] Un jour même que, revenant d’Auteuil sur le bateau, il discutait avec Chapelle resté fidèle aux leçons de Gassendi, excité par la contradiction, il alla jusqu’à s’écrier : « Gassendi !

117. (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116

Tout cela étoit un rêve pour un enfant de douze ans, qui étoit depuis long-temps entre les mains de gens durs, avec lesquels il avoit souffert, & il étoit dangereux & triste qu’avec les favorables dispositions qu’il avoit pour le Theâtre, il restât en de si mauvaises mains. […] Il lui répondit qu’il n’en avoit que ce qui étoit resté de répandu dans sa poche ; parce qu’il avoit oublié sa bourse sous le chevet de son lit à la derniere couchée ; qu’il s’en étoit apperçû à quelques postes : mais que l’empressement qu’il avoit de le revoir ne lui avoit pas permis de retourner sur ses pas pour chercher son argent. […] Une toux qu’il avoit negligée, lui avoit causé une fluxion sur la poitrine, avec un crachement de sang, dont il étoit resté incommodé, de forte qu’il fut obligé de se mettre au lait pour se racommoder, & pour être en état de continuer son travail. […] Il resta assisté de deux Sœurs Religieuses, de celles qui viennent ordinairement à Paris quêter pendant le Carême, & ausquelles il donnoit l’hospitalité. […] La femme de celui-ci ne fut pas plus soigneuse de ses Ouvrages que la Moliere : Elle vendit toute la Bibliotheque de son mari, où apparemment se trouverent les manuscrits qui étoient restez après la mort de Moliere.

118. (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382

De la traduction d’Hénault, il n’est resté que l’invocation à Vénus, l’auteur, avant de mourir l’ayant fait jeter au feu par scrupule religieux.

119. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Pieces intriguées par le hasard. » pp. 223-240

Laura & Célia sa suivante restent sur la scene & se préparent à faire sortir Lisardo lorsqu’elles entendent du bruit.

120. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276

Puis-je rester avec honneur dans une compagnie où vous avez eu la bonté de me placer vous-même ?

121. (1663) Nouvelles nouvelles pp. 210-243

Notre Auteur, après avoir fait ces deux Pièces, reçut des mémoires en telle confusion que, de ceux qui lui restaient et de ceux qu’il recevait tous les jours, il en aurait eu de quoi travailler toute sa vie, s’il ne se fût avisé, pour satisfaire les gens de qualité et pour les railler ainsi qu’ils le souhaitaient, de faire une Pièce où il pût mettre quantité de leurs Portraits.

122. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79

« Il y avait à Gênes un jeune homme bien né et riche nommé Cinthio, lequel, resté sans père ni mère, n’avait qu’une sœur douée d’une beauté rare et d’une éducation distinguée.

123. (1818) Épître à Molière pp. 6-18

Dans cet art difficile où tu n’eus point de maître, Tu régnas deux cents ans sans rival, et peut-être Ta gloire doit toujours rester sans héritiers.

124. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29

Admises à partager le plaisir de la conversation, elles l’étaient par cela même à en disputer l’empire, et elles ne devaient pas rester en arrière de cette vocation ; et l’empire de la convention, qui devait leur en assurer un plus étendu, a contribué à étendre le domaine de la conversation elle-même.

125. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Choix du lieu de la Scene. » pp. 76-93

Sainval resta quelque temps comme pétrifié ; mais, trop prévenu en sa faveur, ou peut-être aveuglé déja par le Dieu dont il alloit prendre les chaînes, il se remet bientôt, & soutient qu’il est aimé, qu’il est certain de posséder sans partage le cœur de sa maîtresse.

126. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVI. De l’opposition des Caracteres. » pp. 398-416

On a dit que Destouches faisoit toujours contraster les deux premiers personnages de ses pieces ; c’est à tort, du moins dans celles de ses pieces qui sont restées au théâtre.

127. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24

« J’apprends que tu publies tes Traités Acroatiques : quelle supériorité me restera-t-il sur le reste des humains ?

128. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308

Betty vient de l’appartement de sa maîtresse en pleurant, & lui dit tout bas de rester au sallon, pour être plus à portée.

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