Et plus tard, son fils Giovanni-Battista, dans Le Théâtre céleste, revendiqua presque pour elle l’auréole de la sainteté.
Tu n’as pas écrasé l’Hydre des faux dévots : Elle grandit dans l’ombre où ces phénix nouveaux De leurs cendres encor menacent de renaître, Et deux cents ans plus tard ils triomphaient peut-être : Aujourd’hui le Tartuffe apparaîtrait en vain, Nous verrions repousser ce chef-d’œuvre divin5, Qui subirait, crois-moi, l’exil expiatoire, S’il n’était défendu par deux siècles de gloire.
« Chaque siècle, dit Fontenelle, a pour ainsi dire, un certain ton d’esprit. » C’est justement ce ton d’esprit auquel s’est monté le journal français qui fera juger, plus tard, des lumières du xixe siècle ; son œuvre accomplie, il devra s’estimer bien haut, notre siècle, s’il peut se rendre à lui-même cette justice d’avoir uni l’exactitude à la vivacité de l’esprit, l’étendue à la finesse, l’élégance à la conviction. […] Séguier… M. le chancelier trente ans plus tard. […] Au premier abord, et quand on se souvient de ce mot : politesse, et de cet autre mot : urbanité, qui ont été le fond de cette langue française, « dont les moindres syllabes nous sont chères, disait un académicien, parce qu’elles nous servent à glorifier le Roi », on se figure que, plus tard, après Richelieu et Mazarin, les ballets dansés par Louis XIV ont perdu quelque peu de leur entrain et de leur gaieté, pour ne pas dire pis. […] et plus tard madame de Montespan ! […] En grimpant, le roi a mis le palais en rumeur ; on accourt, une voix crie à mademoiselle de La Beaume (mademoiselle de La Vallière plus tard) : « Fermez votre porte !
Moliere avec le Comédien Guerin d’Etriché, (en 1677 ou 1678. pour le plus tard.) que l’on fit ces quatre vers, en forme de portrait.
Nous verrons plus loin ce qu’il faut penser d’un moment de froideur témoignée plus tard par le roi à madame Scarron.
Plus tard, il tira un coup de pistolet sur un de ses compagnons Ottavio, aventure qui mit fin à sa carrière théâtrale.
Jeune, sa position de fortune lui fit une nécessité de remplir des emplois qui absorbaient tout son temps; et plus tard, on le sait, il se consacra presque entièrement à la politique. […] Mais les opinions qui, plus tard, doivent se subdiviser à l’infini, et s’isoler les unes des autres, se groupent pour le moment en masses compactes, et ne font naître dans toute l’étendue de la France que deux factions ennemies, celles des royalistes et des bonapartistes. […] L’intrigue pourrait mériter le même reproche ; elle est un peu forcée, et lord Pembrock, épouseur sérieux, qui fait suivre le don de sa main d’une fortune immense, pousse bien loin la crédulité, quand, sur la simple affirmation de mademoiselle Estelle , il n’hésite pas à voir en elle une femme titrée, une baronne, et quand, plus tard, la rencontrant dans un foyer d’acteurs, cette maîtresse intrigante, pour y justifier sa présence, lui persuade qu’elle est l’auteur de la pièce nouvelle qu’on répète en ce moment. […] Plus tard, nous aurons occasion de rappeler ce que Molière veut que l’on entende par vertu, et en quoi il l’a fait consister principalement dans les rapports sociaux. […] Plus tard, dans la fameuse scène du quatrième acte, sa finesse et sa prudence sont-elles en défaut parce qu’il n’a pas prévu la ruse d’Elmire et deviné qu’Orgon était caché sous la table ?
A propos de ce travestissement, un écrivain qui passait alors pour avoir des sentiments catholiques, et que l’on s’est naïvement étonné de voir plus tard républicain et libre penseur comme le pavé de la rue, entreprit non point de venger Molière, mais de rabaisser Bourdaloue. […] Mais ces pensées se présenteront plus tard. […] Il établit, par des conjectures ingénieuses, que la femme de Molière devait être fille de Madeleine Béjart et d’un sieur de Modène, qu’on vit plus tard rentrer dans la famille comme parrain du second enfant de l’auteur du Tartuffe. […] Elle l’apprécia et lui en donna plus tard la plus flatteuse marque qu’il pût ambitionner, en le faisant appeler pour l’aider à soutenir la mort. […] Un peu plus tard une parole officielle du clergé montra qu’il prévoyait les périls de l’avenir.
» Il est spécieux de dire aux gens : « Vous ne savez pas ce que vous avez perdu à ne pas mourir deux cents ans plus tard ; » mais ne les honorer que par ce discours, c’est les honorer à peu de frais !
Lorsqu’elle n’aimait rien tant, dans Molière, que les coups de bâton donnés si gaiement par Scapin, ce n’était pas qu’elle entrevît alors l’idée du comique comme dans un brouillard ; car, voyez : quand plus tard William Schlegel est venu débrouiller cette idée dans son esprit, et lui expliquer, avec la dernière évidence et la dernière clarté, comment, la gaieté étant l’essence du comique, les farces de Molière valent beaucoup mieux que Le Misanthrope, elle a trouvé Schlegel ridicule, Scapin toujours amusant, mais Alceste admirable. […] Plus tard, comment n’aurait-elle pas détesté Shakespeare ?
Cette tirade, qui date de février 1665 au plus tard (la première représentation est du 15 février 1665), donna à Boileau l’idée de sa Satire V, qui fut composée la même année, et qui avait d’abord pour titre : Discours sur la noblesse dépourvue de vertu.
La Bruyère et Fénelon en eurent plus tard le soupçon ; mais, en général, on prit presque au mot la modestie du poète.
Si l’on admet que le Misanthrope reflète quelque chose de l’état d’esprit du poète et de ses sentimens envers sa femme, la séparation peut être rapportée au moment où cette pièce fut jouée, c’est-à-dire en juin 1666, ou, au plus tard, vers le mois d’août de la même année, après le Médecin malgré lui. […] La réconciliation de Molière et de sa femme était peut-être chose faite lors de Psyché ; en tout cas, elle n’eut pas lieu plus tard que la fin de 1671, entre les Fourberies de Scapin et la Comtesse d’Escarbagnas.
Je le crois : certainement cinquante ans plus tard, il ne les fera plus. » C’est calomnier Cléante : car il serait alors lui-même un Tartuffe (Port-Royal, liv.
Elle se rapporte à l’époque du mariage de madame de Maintenon avec Louis XIV, deux ans plus tard que l’époque où nous sommes arrêtés dans ce mémoire.