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144. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276

Dans ces deux pieces, les deux meres prévenues pour un fils très mauvais sujet lui sacrifient leurs autres enfants, & finissent par recevoir de lui les chagrins les plus mortifiants.

145. (1663) Nouvelles nouvelles pp. 210-243

Ce n’est qu’un amas de Portraits détachés et tirés de ces mémoires, mais qui sont si naturellement représentés, si bien tou chés et si bien finis, qu’il en a mérité beaucoup de gloire.

146. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79

Ayant fini, il prend la parole, et attirant toute l’attention de Burattino qui l’écoute la bouche béante, il lui fait un discours en trois points sur l’indélicatesse des voleurs et sur les châtiments rigoureux qui les attendent.

147. (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129

Combien de scènes blâmées, d’intentions calomniées, dans lesquelles il faut toujours finir par reconnaître un trait de morale et de génie ! […] Le marquis offensé se trouvant chez M. de M… en présence de Chapelle, qu’il savait être l’auteur de l’épigramme, ou du moins il s’en doutait, menaçait d’une terrible force le pauvre auteur, sans le nommer : son emportement ne finissait point. […] Cependant je sens bien que je finis. » La Molière et Baron furent vivement touchés du discours de M. de Molière, auquel ils ne s’attendaient pas, quelque incommodé qu’il fût. […] Quand la pièce fut finie, il prit sa robe de chambre et fut dans la loge de Baron, et lui demanda ce que l’on disait de sa pièce. […] Il s’associait avec le père du président Hénault pour dénigrer Racine, et finit par devenir le panégyriste du grand poète dont il avait été le zoïle.

148. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174

 » La guerre dont parle l’auteur, c’est la Fronde, qui a éclaté en 1648, et fini en 1652. […] On y conversait d’une manière si alambiquée, que sur quelque sujet que ce fût, on finissait toujours par ne pas s’entendre.

149. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

je le connoi, dit Arnolphe ; et il ne se peut rien voir de plus plaisant que le changement de son visage, le rapprochement de ses sourcils et la grimace dont il avale cette pilule… Mais Horace ne voit point cela, ou n’en soupçonne point la cause ; et il s’éloigne, bien aise d’avoir parlé de celle qu’il aime, et recommandant le secret, — sans doute pour se laisser le plaisir de le conter lui-même à tout le monde, et Arnolphe, un moment abattu, finit l’acte en courant après lui afin d’en tirer davantage… Un gros bourdonnement s’élève, le parterre applaudit, les loges font les renchéries ; les marquis sur le théâtre se lèvent avec un bruit proportionné à leur importance et vont derrière la scène agacer les comédiennes ou draper Molière chez Molière. […] Il n’a pas fini de rire : Horace la lui lit, cette lettre, et la lettre est charmante, et Arnolphe sganarellisé n’en est que plus furieux. :. […] Il congédie Arnolphe avec un ouf, qui finit la comédie. — Que pensez-vous que dira le monde après ma mort ?

150. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96

À la fin de ces discussions, qui n’ont pas plus de raison pour finir que pour commencer, les deux interlocuteurs, également entêtés dans leur idée, se retrouvent exactement au point d’où ils étaient partis, et la pièce n’a pas avancé d’un pas. […] Le Roi quitte son diamant, pour se laver ; et, quand il a fini, Zacorin lui présente à la place la bague enchantée. […] Les pièces finissent en général par le mariage, comme si le sérieux faisait son entrée dans ta vie avec cet événement.

151. (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136

Quoi de plus comique que l’exposition de la folie humaine, qui se croit seule sage, et qui, malgré ses précautions, fait constamment, fausse route et finit par se trouver prise dans ses propres filets? […] Si, à bout de raisons, il ne trouve plus rien à répliquer, il ferme l’oreille aux conseils de la sagesse, qu’il est incapable d’apprécier ; il se livre contre ses adversaires à des paroles inconvenantes, injurieuses même, qu’il prend pour des raisons péremptoires, et il finit par s’écrier comme Alceste, quand on l’invite à la modération : « Moi, je veux me fâcher et ne veux rien entendre. » Lorsque l’on est dominé et aveuglé par une passion, on place l’intérêt de celle-ci bien au-dessus de son intérêt rationnel et véritable, parce que cette passion a plus de poids sur l’esprit que les sentiments qui inspirent l’intérêt bien entendu et les désirs raisonnables. […] Toutes les fois, par exemple, que l’on a voulu comprimer par la persécution les opinions politiques, religieuses et autres, loin d’atteindre le but qu’on s’est proposé, on n’a fait qu’aviver les sentiments et les passions sur lesquels ces opinions étaient basées, et provoquer une réaction sourde ou ouverte qui a fini souvent par l’emporter sur l’action. […] Dame Pernelle, après avoir terminé ses récriminations contre chaque membre de sa famille, finit d’épancher sa colère, dont la violence s’accroît peu à peu, en appliquant sans raison un soufflet à Flipotte, une petite servante qui est restée muette pendant le conflit, et en l’insultant par l’apostrophe suivante: « Allons, vous, vous rêvez et bavez aux corneilles. […] Devenu amoureux, il ajoute foi aux absurdités que Dorine invente pour flatter son amour suranné, et il finit par croire que la vieillesse a plus de droits pour inspirer de l’amour que la jeunesse.

152. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Choix du lieu de la Scene. » pp. 76-93

On servit : tête à tête, ensemble nous soupâmes ; Et, le soupé fini, nous nous fûmes coucher.

153. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222

Laissez-le-moi finir en deux mots.

154. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. » pp. 397-410

Les freres, outrés au dernier point, mais toutefois moins violents que la mere, lui firent une rude mercuriale, accompagnée de tout ce qu’on pourroit dire d’outrageant au dernier & au plus infame de tous les hommes, & finirent enfin par lui dire qu’ils lui pardonnoient pour cette fois, à condition qu’il seroit plus sage à l’avenir, mais que, s’il lui arrivoit jamais rien de pareil, ils le paieroient de tout à la fois.

155. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316

La piece finit par ces deux vers : Des sages de nos jours nous distinguons les traits : Nous démasquons les faux, & respectons les vrais.

156. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58

Lorsque celle-ci vint s’installer en France, elle apporta par conséquent à notre théâtre les exemples dont il avait le plus grand besoin ; elle enseignait l’action à notre comédie qui penchait naturellement vers la conversation et la tirade, et qui finit toujours par tomber de ce côté-là.

157. (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376

Le Recueil de Gherardi commence par le Mercure galant, de Fatouville, à la date du 22 janvier de l’année 1682, et finit avec Les Fées, de Dufresny et Biancolelli, au 2 mars 1697.

158. (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320

Je finirai cet article par une particularité assez interessante, en rapportant que Monsieur de Colbert, qui protegeoit toutes les personnes d’un merite distingué, dit un jour devant plusieurs personnes à M.

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