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154. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432

 Un an depuis s’est écoulé ;  En sorte que, tout calculé,  La pauvre enfant se trouve âgée  De dix-sept ans, & partagée  De trésors qui s’en vont croissant  Chaque jour, & l’embellissant.

155. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125

Quelquefois les trois amis se trouvaient ensemble à l’hôtel de Longueville.

156. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110

Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul Or, ces vapeurs dont je vous parle, venant à passer du côté gauche où est le foie, au côté droit où est le cœur, il se trouve que le poumon, que nous appelons en latin armyan, ayant communication avec le cerveau, que nous nommons en grec nasmus, par le moyen de la veine cave que nous appelons en hébreu cubile, rencontre en son chemin lesdites vapeurs qui remplissent les ventricules de l’omoplate ; et, parce que lesdites vapeurs ont une certaine malignité, qui est causée par l’âcreté des humeurs engendrées dans la concavité du diaphragme, il arrive que ces vapeurs… ossabandus, nequeis, nequer, potarinum, quipsa milus.

157. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Des Actes. » pp. 274-288

Un acte défectueux est quelquefois trouvé d’autant plus mauvais, qu’il se trouve à côté d’un bon, & qu’on le juge par comparaison.

158. (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151

Tant que cet extrait baptistaire ne se trouvera point, il sera permis de le supposer, et la multiplicité des découvertes de M. 

159. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208

Debout dans un baril défoncé, tenant sa lanterne élevée, Arlequin paraît sur les flots, prend terre, fait une culbute, et se trouve sur ses pieds, hors du baril.

160. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354

Ici l’édition de 1806 marque par des points qu’il y a une lacune ; je la remplis par ce qui se trouve dans l’édition de Nancy.

161. (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33

se trouvent aussi les statues de Fénelon, de La Fontaine, de Racine : on y voit Catinat et Duquesne, Buffon et Linné, Bernard Palissy, ce pauvre potier qui fut martyr de la science, et Descartes dont la méthode a sauvé une seconde fois le monde ; enfin toutes les gloires utiles, toutes les infortunes glorieuses, car tel est le sort de l’humanité qu’il n’y a pas un monument élevé au génie et à la vertu qui ne réveille le souvenir de quelque grande douleur. […] Regnier, s’avisa de remarquer dans une lettre adressée à M. de Rambuteau, préfet de Paris, que la fontaine, dont on venait de décider l’érection, se trouvait placée à la proximité du théâtre français et précisément en face de la maison où Molière avait rendu le dernier soupir.

162. (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723

Si l’on fait à un commerçant quelque banqueroute considérable au moment où il est pressé par des créanciers, la banqueroute est un évenement fâcheux ; la conjoncture où il se trouve est fâcheuse, ses créanciers sont des gens fâcheux. […] parce qu’un fripon vous dupe avec audace, Sous le pompeux éclat d’une austere grimace, Vous voulez que partout on soit fait comme lui, Et qu’aucun vrai dévot ne se trouve aujourd’hui ? […] Truand signifioit un mendiant valide qui fait métier de gueuser ; truander, demander l’aumône par fainéantise, par libertinage ; truandaille, nom collectif pour dire de la gueuserie, des gueux, des vauriens : ce mot se trouve dans la vieille bible des noëls.

163. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

le valet de Célimène annonce une visite, puis deux, puis trois, et bientôt toute une société se trouve réunie chez elle. […] Les cris des animaux, le chant des oiseaux, selon les espèces qui se trouvent réunies dans un espace assez restreint pour s’entendre et se répondre, donnent lieu parfois à des reprises, à des duos, à des chœurs singulièrement contrastés et vivement comiques. […] Or il se trouve, par une singulière et pourtant naturelle rencontre, que, tout en suivant des voies opposées, les Agnès d’une part, les Armande, les Cathos et les Madelon de l’autre, arrivent au même point, à savoir qu’elles perdent cette retenue sans laquelle la femme n’est plus la femme. […] Mais la chevalerie ne conquit qu’un terrain limité, en sorte que, de même que la science, de même que le langage, le rôle de la femme au moyen âge se trouva équivoque et double. […] Que le poète ait concentré notre attention sur ce point, c’était son droit; que les autres personnages servant à dessiner la situation comique et fâcheuse où se trouve Georges Dandin , valant surtout par rapport à lui, ne soient pas châtiés de leurs forfaits, peu importe.

164. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Des aparté. » pp. 446-462

(Il fait semblant de se trouver mal, & s’appuie sur Philipin qui lui conte tout à l’oreille.)

165. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Pieces à scenes détachées. » pp. 45-60

Quelques valets d’Eraste entendent les projets du tuteur, fondent sur lui : leur maître se trouve là très à propos pour sauver les jours de son ennemi, qui, vaincu de son côté par cette action généreuse, lui accorde la main d’Orphise.

166. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. Des Pieces intriguées par les Maîtres. » pp. 151-168

Oronte est obligé, malgré lui, de soutenir le mensonge qui le jette dans un grand embarras, sur-tout lorsque la vieille, écartant tout le monde, se trouve tête à tête avec lui.

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