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168. (1910) Rousseau contre Molière

C’est une chose merveilleuse que cette tyrannie de Messieurs les maris, et je les trouve bons de vouloir qu’on soit morte à tous les divertissements et qu’on ne vive que pour eux ! Je me moque de cela et ne veux point mourir si jeune !  […] Dans la première, Don Juan fait ressortir la stupidité de la piété du pauvre, que son commerce assidu avec le ciel n’empêche pas de mourir de faim ; et Sganarelle, représentant du bon sens populaire, ne proteste pas. […] Mais il leur reproche précisément de ne guérir point et même d’aider la nature à nous faire mourir. […] — Vous me répondrez : c’est prétendre guérir, et cela seulement, qui irrite Molière comme une insulte à la sainte nature qui veut qu’on meure.

169. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117

Il mourut l’an 1660, en se promettant de faire une belle satyre contre le hoquet, qui l’étouffa.

170. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXV. Du contraste des Caracteres. » pp. 386-397

Et l’on s’étonne après cela que les fils souhaitent qu’ils meurent !

171. (1801) Moliérana « Vie de Molière »

On le rapporta mourant chez lui, rue de Richelieu, où il mourut quelques instants après, entre les bras de ses deux sœurs, étouffé par le sang qui lui sortait par la bouche, le 17 février 1673, âgé de 53 ans.

172. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250

Une note de l’éditeur porte qu’elle est née vers 1608 et morte en 1678.

173. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218

Quelque temps après il apprend son infortune, & meurt de chagrin. […] Le cœur de son amant est tout ce qui la touché, elle mourra si elle ne le possede.

174. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273

Il mourut l’an 184 avant Jesus-Christ.

175. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74

Dardanus & sa parodie En naissant auroient dû périr : Ils n’ont vécu que par magie, Le sommeil les a fait mourir.

176. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110

on n’a qu’à présenter la sienne, et, si elle est bonne, toutes les autres vont mourir d’elles-mêmes et par elle, de même que l’aigle ne laisse subsister dans son voisinage d’autres oiseaux que les aigles.

177. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366

Riccoboni mourut à Paris le 10 Décembre 1753.

178. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327

Vous imaginez-vous que j’aie envie de mourir potier d’étain ?

179. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208

Arlequin, voyant que tout est sombre, dit : “Il faut que la blanchisseuse de la maison soit morte ; car tout est bien noir ici.”

180. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354

Il est entre les mains des médecins et des chirurgiens : la moitié suffit pour le faire mourir.

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