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50. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47

Voyez une note de Monmerqué sur la lettre 589 de Sévigné, t. 

51. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354

Mais, si elles sont si intéressantes, que ne prenait-il note de ces idées pour notre plaisir et notre instruction ? […] Il prit des notes à Londres comme dans la campagne normande. […] Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière. […] Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière. […] Bazin, Notes historiques.

52. (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]

Ce fait est attesté par une note de l’Académie Française. […] Selon la note 6 de la notice de Georges Forestier et Claude Bourqui « Martial, marchand parfumeur célèbre. […] Note 35 « Cette chanson ne figure dans aucun des recueils parus avant 1670. […] Selon la note de Georges Forestier et de Claude Bourqui, dans la pléiade « La formule “comme je lui pardonne”, qui fait écho à une phrase du “Notre Père”, peut aisément faire office de second hémistiche de ce vers. Une anecdote répandue au XVIII siècle veut que la substitution ait été effectuée lors des représentations de la troupe de Molière. » (note 21, p. 1403).

53. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250

Voyez la note 1 de la page 79. […] Voyez la note 2 de la page 215. […] Voyez p. 158, note 1.

54. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250

Une note de l’éditeur porte qu’elle est née vers 1608 et morte en 1678.

55. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125

L’auteur dit en note que l’hôtel de Rambouillet se déchaîna longtemps contre Boileau qui avait accablé Chapelain et Cottin par ses satires.

56. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217

Au lieu de mettre dans les notes de sa piece, Sganarelle est impatienté par le Philosophe, il ferme avec sa main la bouche du Philosophe, il pousse le Philosophe dans sa maison, &c. il a constamment écrit, Sganarelle, impatienté par le Docteur, ferme avec sa main la bouche du Docteur ; il pousse le Docteur dans sa maison, &c.

57. (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151

Les points placés avant le mot Bejard, font voir que ce qui précède était une simple note en marge, et que le manuscrit portait : « Le baron de Modène eut de la nommée Bejard, comédienne de la troupe de Molière, une fille naturelle que celui-ci épousa (Guérin, femme de). » Le texte ainsi rétabli, par une simple transposition facile à comprendre pour, un manuscrit dont l’auteur n’est pas l’éditeur, prouve que la tradition n’a pas varié, qu’elle est universelle, et ne peut être détruite par un acte que toutes les parties ont eu intérêt à falsifier, comme tant d’autres que nous connaissons.

58. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208

Mais, quant à l’ensemble de la pièce, nous croyons que le scénario, tracé par Gueulette d’après les notes de l’Arlequin Dominique, nous a conservé assez exactement la physionomie originale du Convitato di pietra accommodé aux besoins de la commedia dell’arte 35.

59. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29

V, pag. 282, cite en note une réponse du roi au reproche la tyrannie que lui faisait le prince de Condé : « Je n’ai fait en ma vie acte de tyrannie que quand je vous ai fait reconnaître pour ce que vous n’étiez point. » Ces paroles se rapportent à la cassation ordonnée par le roi, d’un arrêt qui déclarait enfant adultérin le prince de Condé.

60. (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490

C’est ce que semble indiquer une note de Brossette disant d’après Boileau : « Quand Molière composait son Tartuffe, il en récita au Roi les trois premiers actes. » Il paraît qu’ils furent agréés ; mais on ne permit pas à l’auteur de s’en prévaloir, comme le prouve le silence de sa préface et de ses placets qui se taisent sur cet auguste suffrage. […] Il a donc pu « charger la complaisance », et forcer impunément la note jusqu’à la moquerie la plus transparente, parce que tout vice est sottise, et croit volontiers à ce qu’il désire. […] Cette note explique le vers que voici : Molière avec Tartuffe y doit jouer son rôle. […] La situation de l’acte IV, scène 3, est celle de Mithridate dérobant à Monime le secret de son cœur ; mais le ton n’est pas le même, et la note reste comique. […] On peut en douter ; Molière a parfois forcé la note.

61. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222

Note qui se trouve dans les bonnes éditions de Moliere.

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