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149. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. Des Caracteres nationaux. » pp. 268-283

Favart peint le cœur d’un Anglois, il est juste de voir la critique qu’il fait de la nation entiere.

150. (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151

Remarques critiques sur ce Dictionnaire, art.

151. (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89

Donc, jusqu’à nouvel ordre et preuve du contraire, nous considérerons ces Lettres comme l’œuvre de Boucher d’Argis, ou plutôt comme une compilation faite par lui sans beaucoup d’ordre et d’esprit critique. […] C’est ce qu’auroient dû apercevoir quelques critiques suffisans, dit le même auteur, lesquels, en méprisant certaines saillies de Moliere comme indignes des autres productions de ce poëte, n’ont pas reconnu que dans les pièces mêmes qu’ils blâmoient sans restriction, il y avoit des scènes d’une extrême finesse, et même prises de Terence. […] La Critique de L’Ecole des femmes, petite comedie en prose ou plûtôt dialogue divisé en sept scènes, représentée pour la premiere fois à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le vendredi premier juin 1663 par la troupe de Monsieur.

152. (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-

Une critique fine et mordante distingue cette pièce. […] La Critique de l’École des femmes, L’Impromptu de Versailles, petites pièces d’à-propos, sont des modèles de grâce, de finesse, de légèreté. […] voilà comme vous disiez lorsqu’on vous donna celui de La Critique de l’École des femmes ; cependant vous vous.cn êtes acquittée à merveille, et tout le monde est demeuré d’accord qu’on ne peut pas mieux faire que vous avez fait.

153. (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134

Leur critique sur le Robinet des nouveautés de Geoffroy. […] Mais aussi la critique précédente subsiste. […] Les critiques auraient dit alors que Molière s’était donné beau jeu, en remplissant le récit d’Orgon de choses appartenant évidemment à un hypocrite. […] Une critique bien vieille et bien vraie, c’est que Dorine n’est pas du tout dans nos mœurs. […] Cela préviendrait la critique de La Bruyère (Article Onuphre)73, qui au reste me semble peu fondée.

154. (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382

Je n’ai pas la prétention, après tant d’autres plus habiles, de faire l’éloge et la critique du génie comique de Molière.

155. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Des aparté. » pp. 446-462

Aussi l’Auteur, pour aller au devant de la critique & sauver ce défaut, fait que le vieillard remarquant l’aparté du fourbe, lui dit : Que dis-tu là tout seul ?

156. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Pieces à scenes détachées. » pp. 45-60

Moliere, qui a senti combien cela étoit forcé, a vainement essayé de prévenir la critique, en faisant dire au héros : Sous quel astre, bon Dieu !

157. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447

Damis annonce qu’il en viendra à quelque éclat avec lui, parcequ’il ne peut souffrir qu’un cagot de critique usurpe un souverain pouvoir dans la maison.

158. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222

Mais mon goût, ou celui du siecle, ne fait rien à la chose : c’est le caractere des interlocuteurs, & leur situation, qui doivent alonger ou raccourcir les couplets ; &, d’après cette regle, dictée par la raison, je critique ce que la plupart des comédiens, grands amateurs de tirades, parcequ’elles sont toujours applaudies par le grand nombre, ont ajouté après la mort de Moliere à la cinquieme scene du troisieme acte de l’Avare, & qu’on débite hardiment sur le premier Théâtre de l’Europe, qu’on trouve même dans les mauvaises éditions.

159. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384

Boissy avoit le talent d’intéresser ses spectateurs en saisissant habilement la folie du jour, en aiguisant sa critique par les traits du vaudeville ; mais aussi la plupart de ses pieces ont-elles disparu avec l’anecdote qui les avoit fait naître.

160. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316

Le Colporteur propose plusieurs livres dont on fait l’éloge ou la critique.

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