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205. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377

Vous verrez de quelle manière se tournera cette amitié. » Le 28 juin, « Vous jugez très bien de Quantova (madame de Montespan) ; si elle peut ne point reprendre ses vieilles brisées, elle poussera sa grandeur au-delà des nues ; mais il faudrait qu’elle se mît en état d’être aimée toute l’année sans scrupule111 ; en attendant, sa maison est pleine de toute la cour ; les visites se font alternativement, et la considération est sans bornes. » Une autre lettre, du 3 juillet, porte : « Ah ! […] On aime fort ce bois. » 111.

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qu’il l’eût aimé plus humble, plus discret, plus réservé, plus médiocre ! […] Denon aimait à conserver de la sorte et à s’entourer de souvenirs palpables, témoins muets, mais non moins éloquents, de tous ses voyages. […] J’aime à retrouver sur les choses qui restent l’ombre passagère de l’homme disparu. […] J’aurais beaucoup à dire sur le choix fait par notre ami dans les papiers de Tralage ; mais je n’aime pas les excerpta. […] que nous aimions mieux la mise en scène de la Gaîté : là, c’était du théâtre ; ici, ce n’est plus que du bric-à-brac archéologique ! 

207. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VI » pp. 50-55

» Il n’aimait pas non plus Sénèque.

208. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVII » pp. 193-197

Établis dans la capitale, ils se lièrent avec Molière, valet de chambre du roi, fort aimé de ce prince, et dispensé de faire la cour aux dames.

209. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. Des Caracteres de tous les siecles, & de ceux du moment. » pp. 331-336

Le Lecteur aimera peut-être mieux la voir en vers par Thomas Corneille, elle est exactement rimée sur celle de Moliere.

210. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IX » pp. 77-82

Elle fut fort aimée du duc de Saint-Aignan, et sa correspondance avec Bussy-Rabutin la placée au rang des bons épistolaires de ce temps-là.

211. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138

Lionetto devint amoureux de Claudia, fille d’un certain Albert, qui dans ce temps-là étoit dans sa ville ; mais l’ayant vu partir peu de jours après, avec la belle Claudia, pour Genes, il brise la cassette de son pere, emporte l’argent, les bijoux, & s’embarque pour suivre ce qu’il aime. […] Elle est jalouse, & n’a jamais eu d’amants ni de charmes ; & le premier soupirant qui aura le courage de l’aimer, fera naître une belle passion.

212. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421

c’est mon époux que j’aime ! […] car sans contredit, Monsieur, les Dieux n’aiment que vous.

213. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. De l’Art de prévenir les Critiques. » pp. 309-313

Non, on est aisément trompé par ce qu’on aime, Et l’amour-propre engage a se tromper soi-même.

214. (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944

Plus que Racine, autant que Molière, le grand homme du jour a gardé la faveur publique ; il est même, sinon plus estime ni plus aimé, du moins plus respecté que Molière ; il tient le dessus dans cette trinité, il est Dieu le père : allons voir quels honneurs ses cardinaux lui rendent ! […] Sans doute, au quartier Latin, on aime à rire avec les bons auteurs : en ceci, du moins, nous serons satisfaits.

215. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du point où doit commencer l’action d’une fable comique. » pp. 172-177

Au reste, si le spectateur veut qu’on lui présente d’abord un amour bien établi, il en est ainsi de tous les autres principaux ressorts de la comédie : il n’aime à voir naître & détruire que ceux qui, en se croisant, en se succédant mutuellement, redoublent le mouvement des grandes machines.

216. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VII. Le théâtre français contemporain des Gelosi » pp. 119-127

Henri IV, qui aimait à se divertir des parades comiques qui commençaient à faire la réputation de l’acteur français, le faisait appeler quelquefois.

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