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261. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. » pp. 489-499

Cette piece fut représentée, pour la premiere fois, sur le théâtre du Palais Royal le 11 Mars 1672.

262. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. M. DE SAINT-FOIX. » pp. 288-296

Tout cela paroît bien ressemblant, cependant M. de Saint-Foix dit dans sa Préface : « Je finis vîte, en ajoutant que la fable ou l’invention du sujet étant, sans contredit, la partie du théâtre la plus difficile, elle est aussi celle qui peut faire le plus d’honneur.

263. (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12

mon brave et très obscur aïeul, enterré à Montagnac, que dirais-tu de cette querelle d’allemand, toi qui, en Gaulois au franc rire, savais très bien qu’en notre joyeux pays de Languedoc, las fayssous toudesquos, « les façons tudesques », étaient, sur le Théâtre de Béziers 12 synonymes de grotesques, autrement que pour la rime ?

264. (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302

En 1644, le célèbre auteur de la Mariane, Tristan l’Hermite, n’avait pas dédaigné de donner à l’Illustre Théâtre, alors établi au jeu de paume des Métayers, ses tragédies de la Mort de Sénèque et de la Mort de Crispe 3.

265. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52

Cette piece fut représentée à Paris sur le théâtre du Petit Bourbon, au mois de Décembre 1658. […] Il sort & laisse son amant sur le théâtre, qui raconte à son valet Arlequin une dispute qu’il a eue avec Silvio son frere.

266. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412

Il donne la derniere main à l’ouvrage, quand Dumont, voyant son maître dans les transports de la composition, sent des démangeaisons d’écrire, se place à l’autre bout du théâtre, & fait des vers pour Philis. […] Voyons, que j’arrange ma situation, que je mesure un peu l’étendue de la scene pour mon coup de théâtre . . . .

267. (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246

Cet effacement des individus devant le roi ou la nation pouvait être un bien dans la société ; mais au théâtre il faut des caractères plus tranchés, des physionomies plus accentuées. […] Ces deux princes accomplis auraient été sans doute cités comme des modèles à la cour de Louis XIV ; mais les mines plus hautes et plus fières de Nicomède et de Rodrigue auront toujours au théâtre beaucoup plus de succès, quoique l’un et l’autre laissent échapper des vivacités que ne se seraient jamais permises ni M. de Dangeau, ni M. de Cavoie.

268. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. Du Genre mixte. » pp. 241-252

Choisissons dans notre théâtre quelques pieces mixtes ; voyons quelles sont leurs qualités, & en quoi elles pechent.

269. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318

Cette dégradation des femmes savantes sauvait Molière du danger d’essayer le ridicule contre des personnages sur lesquels le ridicule ne mordait point, et du danger des inimitiés puissantes, mais il n’allait point au but, qui était d’affaiblir la considération des gens du monde, dont le poids était incommode pour la cour et dangereux pour le spectacle de Molière ; et d’ailleurs il avait peu de succès à attendre d’un ouvrage qui reproduisait la préciosité au moment où elle venait de rassasier le public, et où, par l’influence du théâtre même, elle cessait d’exister dans le monde.

270. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXV. Du contraste des Caracteres. » pp. 386-397

Diderot sur sa parole ; mais je sens bien vivement le bonheur de me trouver de son sentiment à l’égard des pieces de théâtre.

271. (1836) Une étude sur Molière. Alceste et Célimène (La Revue de Bordeaux et Gironde unies) pp. 65-76

Si chaque homme ne suivait qu’une impulsion, rien ne serait si facile que de concevoir un rôle de théâtre, ce serait un ouvrage de mathématicien ; mais la nature humaine n’est pas ainsi faite.

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