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121. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. » pp. 397-410

Son esprit étant continuellement occupé, soit par son penchant naturel, soit par les réitérées sollicitations du cavalier, à chercher quelque expédient pour se voir, elle crut en avoir trouvé un.

122. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99

Regnard doit, selon moi, occuper la droite de Moliere, Dufresny la gauche, &c.

123. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278

On peut, je crois, regarder la première entrevue du roi et de madame Scarron comme l’époque de la naissance d’un vif désir de se plaire réciproquement, désir qui n’a cessé de faire des progrès jusqu’à la certitude du succès, tout en traversant les nombreuses intrigues de galanterie, même d’amours, dont le roi fut occupé dix années.

124. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297

Et les choses qu’elle dit avoir apprises depuis trois ans sur le compte de madame de Montespan, avaient-elles réellement occupé son attention ?

125. (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320

Mais qui peut ignorer les raisons que Moliere a euës de donner dans quelques-unes de ses Pieces quelques Scenes burlesques & d’un Comique un peu trop boufon : il falloit faire subsister une troupe de Comédiens, & attirer le Peuple & l’homme qui ne cherche qu’à rire : les personnes d’érudition & d’un discernement juste & délicat sont en petit nombre, & ne sont pas souvent les mieux traitez de la fortune, & par conséquent hors d’état de faire vivre les Comédiens en allant souvent aux Spectacles occuper les premieres places.

126. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548

Nous avons parlé, dans plusieurs des chapitres du premier volume, de la partie comique ; nous y avons développé jusqu’aux causes du rire : ne nous occupons donc ici que de la partie morale. […] Ces différentes variations ne font ni un grand mal ni un grand bien à l’humanité : les yeux libertins y gagnent plus ou moins, voilà tout ; & vu leur peu de conséquence, elles ne doivent pas occuper bien sérieusement un Poëte comique.

127. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Nous nous en occuperons donc quand nous en serons à étudier les principes généraux de Molière sur L’art dramatique. […] La grande lacune de la littérature française du xviie siècle et du xviiie siècle encore (Rousseau excepté, mais Rousseau ne savait pas voir) est précisément de ne s’être point occupé du tout de la France provinciale. […] Dans Tartuffe Dieu n’occupe la pensée que d’un imbécile qui est Orgon, d’une vieille bête qui est Madame Pernelle et d’un coquin, Tartuffe, qui n’y croit certainement pas, et les honnêtes gens et les gens sensés de la pièce, qui auraient quelques raisons d’en parler, n’en disent rien. […] Mais Dorine est surtout, nous dit-on, une femme d’esprit ; j’en suis bien d’avis ; occupons-nous donc de celles des servantes de Molière qui sont véritablement des « filles de la nature » et des femmes « de bon sens naïf » ; occupons-nous de Nicole et de Martine. […] Mais encore je fais observer que ces deux choses sont très possibles ; qu’un exploiteur de religion peut être à la fois ambitieux et libidineux, non sans s’apercevoir que l’un est contraire et défavorable à l’autre, mais se laissant entraîner à sa complexion, et ceci c’est la question du caractère complexe dont nous nous occuperons plus loin.

128. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468

Par eux seuls en tous lieux la scene est occupée.

129. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353

Son projet est de racheter une terre vendue presque pour rien, & d’aller s’y occuper du bonheur de sa femme & de l’éducation de son fils.

130. (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567

Déjà malade, il ne put, dans la lettre qui parut le 14 février, la veille même de la première représentation de Don Juan, que faire l’annonce de cette pièce, un peu cri style de paillasse : L’effroyable Festin de Pierre, Si fameux par toute la terre, Et qui réussissait si bien Sur le Théâtre-Italien, Va commencer4… Nous ne possédons malheureusement, pour l’année 1665, qu’une seule lettre de Mme de Sévigné, qui n’était pas encore le noble et délicieux feuilletoniste de l’aristocratie du grand siècle, et, dans cette lettre unique, elle ne s’occupe que de l’exil de Fouquet.

131. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20

Ajoutez que, pour assurer le succès, l’auteur étale les travers les plus saillants de l’humanité, ceux qui occupent le plus de place dans le monde et dans la personne de chacun ; en sorte que le type mis sur le théâtre, paraissant toujours tenir quelque chose de nous-mêmes ou de notre société25, ne peut nous laisser froids, ni par conséquent maîtres de notre jugement.

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