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86. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IV. Jugement sur les Hommes de Molière. » pp. 65-82

C’est encore lui que joue Brécourt dons l’Impromptu de Versailles (sc.I, III) > et lui que fait Ergaste dans les Fâcheux : on le retrouve, plus jeune, dans le Cléonte du Bourgeois gentilhomme (act.

87. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120

De même, dans le Tartuffe, il est fâcheux de mettre tant de bon sens et de vertu dans une égrillarde comme Dorine : elle a trop de finesse, de délicatesse, d’autorité dans la maison, pour être en même temps une fille suivante un peu trop forte en gueule et capable de la gaillardise de toute la peau 412.

88. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58

Aussitôt qu’il apprit la fâcheuse aventure survenue à ses comédiens, le roi négocia pour obtenir leur délivrance, et il l’obtint moyennant une forte rançon.

89. (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320

Le Fâcheux, Comédie en Vers, trois Actes, précedez d’un Prologue à la gloire du Roi, 1661.

90. (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44

À la vingtième page, il nous prépare adroitement au mariage de Molière : c’était un endroit délicat à toucher ; car le Public a de fâcheuses préventions sur cet article : et il n’aurait pas été mauvais de produire des pièces justificatives de ce qu’avance l’Auteur pour anéantir le préjugé général.

91. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468

Le noir pressentiment, le repentir, l’effroi, Les présages fâcheux volent autour de moi.

92. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462

Epargne-moi, mon fils, la honte & le regret De révéler moi-même un si fâcheux secret : Dispense-moi, mon fils, d’un récit si funeste.

93. (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567

Je m’en vais passer tout à l’heure dans cette petite rue écartée qui mène au grand couvent ; mais, pour moi, je vous déclare que ce n’est pas moi qui me veux battre : le ciel m’en défend la pensée, et, si vous m’attaquez, nous verrons ce qui en arrivera. » - Je conçois qu’on ait été obligé de faire, en 1677, des retranchements aussi fâcheux ; mais ce qui me paraît le tort grave et personnel du traducteur, c’est d’avoir rempli ces vides si regrettables par des inventions communes et propres seulement à faire perdre de vue le dessein et la haute pensée de l’auteur.

94. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50

Il a affaire à un fâcheux, à un homme oisif, qui se retirera à la fin : il l’espere, & il prend patience. […] Ma foi, Seigneur Neptune, n’en déplaise à votre divinité aquatique, vous avez fait une grande faute : deviez-vous laisser perdre une si belle occasion, & ne pas nous défaire de ce très incommode & très fâcheux vieillard ?

95. (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -

Le jour fixé pour une fête que voulait donner à son roi un fastueux surintendant ne lui permettant pas de composer une véritable comédie, il fait succéder les unes aux autres des scènes épisodiques qu’un lien léger rassemble, et il donne les Fâcheux, la première et la meilleure des pièces à tiroir. […] C’était une fâcheuse inauguration. […] On doit regretter que deux hommes de génie, dont l’un avait été le bienfaiteur de l’autre, ne soient pas restés unis ; mais du moins on n’a point à gémir des suites de leur mésintelligence, qui ne fut marquée par aucun trait perfide, par aucun éclat fâcheux. […] Chacun sait que Louis XIV indiqua à Molière le personnage du chasseur dans Les Fâcheux, et qu’il lui fournit le sujet des Amants magnifiques. […] Voir, dans la Notice sur les Fâcheux, t.

96. (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126

L’original de cette pièce appartient au genre que les Espagnols nomment comedias de figuron, je ne doute pas que Scarron ne l’ait gâté en l’imitant, et ce qu’il y a de plus fâcheux c’est que ces exagérations sont extravagantes sans être gaies. […] Il n’a composé que des comédies nommées pièces à tiroirs, genre secondaire, dont Molière le premier a donné l’exemple dans ses Fâcheux.

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