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125. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412

Ce n’est pas que je sois mieux qu’un autre : je ne m’en fais pas accroire ; mais c’est un je ne sais quoi, comme dit Moliere, qu’on ne peut expliquer.

126. (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454

Par-là s’explique la fréquence de ses emprunts — sa mémoire étant chargée des œuvres d’autrui, — sa facilité à écrire, et à rimer, et la nature de ses « ficelles ». […] Comment en effet, sans cela, expliquer l’effet produit par l’Ecole des Femmes, et le déchaînement qui s’ensuivit ?

127. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

Encore un coup, ce n’était pas le goût des discours et le prurit de la langue qui poussaient Molière à parler en public, mais l’âpre besoin d’expliquer ses idées et son but. […] » Mais Molière savait aussi de quel prix est la voix qui enseigne, commente, explique, persuade. […]  » Ô Molière, ô grand ennemi de cette casuistique et de cette hypocrisie, comme on s’explique les haines farouches que tu déchaînas alors contre toi ! […] La similitude complète des deux vers, qui ne sont pas ce qu’on appelle vers de remplissage, et la coïncidence des dates (Sertorius et L’École des femmes parurent la même année) ne paraissent pas pouvoir s’expliquer par le pur hasard.

128. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75

Sans cesse, nuit & jour, je te caresserai, Je te bouchonnerai, baiserai, mangerai ; Tout comme tu voudras, tu te pourras conduire : Je ne m’explique point, & cela, c’est tout dire.

129. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105

Elle lui explique la raison qui a fait déguiser Bélise avec sa suivante, & sort en promettant de ne paroître plus aux yeux de son indigne amant.

130. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250

Elles veulent le faire expliquer pour l’une ou pour l’autre ; il promet tout bas à chacune de lui donner la préférence, & sort.

131. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218

Crispin presse Nérine de couronner son amour ; elle veut suivre en tout l’exemple de sa maîtresse & ne s’expliquer qu’avec elle.

132. (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331

Griffet, et dans la manière dont il explique ce que c’est que le tour du bâton.

133. (1901) Molière moraliste pp. 3-32

Ce qui reste vrai, incontestable, ce qui explique le déchaînement de haine et d’injures dont le Tartuffe fut l’occasion, l’indignation des jésuites, des jansénistes et du clergé, c’est que Molière, d’un bout à l’autre de la pièce, protestait énergiquement contre la préoccupation égoïste du salut, qui fut l’âme du jansénisme ; contre l’intrusion du directeur dans la famille, dont les jésuites furent toujours les défenseurs intéressés.

134. (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347

Je m’explique.

135. (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397

Cependant, malgré l’envie des troupes, des auteurs et des personnes inquiètes, Le Cocu imaginaire passa avec applaudissement dans le public. » Un particulier nommé Neufvillenaine, qui, en cinq ou six représentations, avait retenu toute cette comédie, la fit imprimer, et la dédia à Molièrea ; les arguments qu’il a mis à la tête de chaque scène sont extrêmement curieux, parce qu’il y explique tous les jeux de théâtre, et surtout ceux de Sganarelle, qui était représenté par Molière.

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