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106. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164

Mon meilleur ami & mon compatriote Géta vint hier me trouver : je lui devois encore quelque petite bagatelle d’un reste de compte : il me pria de lui ramasser ce peu d’argent.

107. (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38

Je ne la regretterai pas, parce que, pour la remplacer, je compte absolument sur ces nobles esprits, sur ces talents d’un ordre si élevé qui nous ont donné, en définitive, toutes ou presque toutes les maîtresses œuvres de notre répertoire de genre.

108. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264

« — Vous êtes une masque, disait le mari ; je n’ai point de comptes à vous rendre.

109. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475

Il faut attendre que la grâce agisse. » La rupture du roi avec madame de Montespan fut déclarée définitive et irrévocable par un de ces bienfaits qui acquittent tous les comptes passés : le roi lui donna la charge de surintendante de la maison de la reine, dont madame la comtesse de Soissons eut ordre de se défaire, et ordonna à l’ex-favorite de se retirer de la cour.

110. (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316

Aimé-Martin cite avec complaisance tous les traits du caractère de Saint-Aignan qui se rapportent à celui d’Oronte, mais il ne tient pas assez compte des dissemblances.

111. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

Vous ne m’aimez donc pas, à ce compte ? […] Je dis l’Arnolphe de Molière, car nous ne sommes pas ici dans la même incertitude que pour Alceste ; nous savons comment Molière jouait le rôle ; il a pris soin de nous en instruire lui-même dans la Critique ; et les indications que. j’ai mises sous vos yeux dans mon compte rendu de la première, sont tirées des contemporains.

112. (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464

Aussi Molière, pour donner le change à leur fureur, crut-il devoir faire une distinction entre les précieuses véritables et les précieuses ridicules, et mettre toutes les sottises de l’hôtel de Rambouillet sur le compte de deux provinciales fraîchement débarquées.

113. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52

Je mets tout sur le compte de quelques fausses apparences auxquelles vous avez ajouté foi trop légérement.

114. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322

Le maître dit à Colombine qu’il adore Diana ; le valet parle pour son compte à la soubrette : elle les rebute tous les deux, en leur disant qu’elle est éprise du Docteur, & que Diana aime un jeune écolier.

115. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356

 Non, je ne te veux obliger Qu’à me rendre de tout un compte fort sincere Sosie.

116. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533

A ce compte, son frere est aussi là-dedans ?

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