Il s’était joué lui-même sur cette incommodité dans la cinquième Scène du second Acte de L’Avare, lorsque Harpagon dit à Frosine « Je n’ai pas de grandes Incommodités Dieu merci, il n’y a que ma fluxion qui me prend de temps en temps ; » À quoi Frosine répond, « Votre fluxion ne vous sied point mal, et vous avez grâce à tousser. » Cependant c’est cette toux qui a abrégé sa vie de plus de vingt ans.
Plaute, qui finit sa comédie par le sérieux d’un Dieu en machine, auroit sçû gré à Moliere d’avoir interrompu, par le caprice de Sosie, les complimens importuns des amis d’Amphitrion, sur un sujet aussi délicat. […] Dom Juan dans une scéne avec un pauvre qui lui demandoit l’aumône, ayant appris de lui qu’il passoit sa vie à prier Dieu, & qu’il n’avoit pas souvent de quoi manger, ajoutoit.. Tu passes ta vie à prier Dieu, il te laisse mourir de faim, prend cet argent, je te le donne pour l’amour de l’humanité.
Mais, dès ce moment, le bruit se répand que Molière, cet audacieux et misérable Molière, ne se propose rien moins dans son nouvel ouvrage que d’attaquer la religion et de s’en prendre à Dieu lui-même. […] Benserade se mit à rire : — Par Dieu, dit-il, il serait plus logique d’écrire : Et tracez sur les herbettes L’image de vos chaussons ! […] Louis par la grâce de Dieu roy de France et de Navarre à nos amis et feaux les gens tenans nos cours de Parlement, Maistres des requestes ordinaires de nostre hostel, baillifs, senechaux, prevosts, juges, lieutenans et tous autres nos justiciers et officiers qu’il appartiendra, salut. […] Il n’eut jamais une autre loi Que celle qui détruit la foi ; Il se servit de la coquille Et de la mère et de la fille ; Et ne trouva dedans sa fin, Ni Dieu, ni loi, ni médecin. […] J’y lis : « Il s’était joué lui-même sur cette incommodité dans la 5e scène du 2e acte de L’Avare, lorsque Arpagon dit à Frosine : “Je n’ai pas de grandes incommodités, Dieu merci, il n’y a que ma fluxion qui me prend de temps en temps.”
Voilà la route que Dieu avait marquée à cette jolie femme… » Madame de Sévigné ne savait pas tout.
Aminta lui dit de jurer que s’il n’accomplit point sa parole, il veut être maudit de Dieu. […] Don Juan veut l’éclairer ; elle lui répond qu’elle n’en a pas besoin, parceque son ame est en grace devant Dieu.
Un Dieu descendant du Ciel fait le dénouement d’Amphitrion ; mais Jupiter a joué un rôle très considérable dans toute la piece, & il est juste que le principal personnage la dénoue.
Je ne manque pas d’occupation, Dieu merci : il faut que j’aille chez le Traiteur ; de là chez l’Agent de change ; de chez l’Agent de change, au logis ; & puis il faudra que je revienne ici joindre M.
Quinault, né à Paris en 1635 ; il étoit fils d’un Boulanger : c’est à quoi Furetiere fait allusion en disant : « Quinault est la meilleure pâte d’homme que Dieu ait jamais faite ; il oublie les outrages qu’il a soufferts de ses ennemis, il ne lui en reste aucun levain sur le cœur.
Le premier registre de la nouvelle Troupe Italienne commence ainsi : Au nom de Dieu, de la Vierge Marie, de S.
À Dieu ne plaise que je parle, dans le sanctuaire des lettres, du triomphe de la barbarie, et que je rappelle, devant les statues de Corneille et de Racine, l’époque déplorable où leurs chefs-d’œuvre furent mutilés par des mains sacrilèges.
Je crois certainement que c’est Dieu qui a eu pitié de cette vertueuse enfant et de mon âme qui allait à la perdition.