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171. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. Des Tableaux. » pp. 422-425

Parceque tout cela tient au sujet, & que les différentes nuances y répondent.

172. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. » pp. 290-293

Don Pedre se doute alors de quelque supercherie, & répond par un autre couplet.

173. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. » pp. 274-278

Je lui répondis là-dessus que j’avois peine à croire qu’une aussi belle piece que celle-là, en cinq actes, & dont les vers sont fort beaux, eût été faite en aussi peu de temps : il me répliqua que cela paroissoit incroyable ; mais que tout ce qu’il venoit de me dire étoit très véritable, n’ayant aucun intérêt de déguiser la vérité ».

174. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre X » pp. 83-88

Corneille répondit à ce reproche en 1639, par Les Horaces et Cinna ; en 1640, par Polyeucte ; en 1641, par La Mort de Pompée ; en 1642, par Le Menteur ; en 1645, par Rodogune.

175. (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908

Vers la fin de son Impromptu de l’hôtel de Condé, Montfleury le fils faisait dire par un de ses personnages : … L’on doit finement dessus certain chapitre… Un autre répondait par ces deux vers de l’École des femmes : Hé, mon Dieu ! […] Dans l’Impromptu de Versailles, Molière avait dit du Portrait du peintre de Boursault : «  Je réponds de douze marquis, de six précieuses, de vingt coquettes et de trente c…s, qui ne manqueront pas d’y battre des mains. » Le raisonneur de la Vengeance des marquis, Ariste, relève et reprend le mot : « Il a été plus de c…s qu’il ne dit voir le Portrait du peintre : j’y en comptai un jour jusqu’à trente et un. […] Elomire « a une grosse toux et l’oreille lui corne de mille tintoins. »Bary répond : Les cornes sont toujours fort proches des oreilles. […] A celui qui s’acharne dans l’attaque comme dans la défense, on est toujours tenté de répondre avec la marquise de Lassay : « Comment faites-vous donc pour être si sûr de ces choses-là ?  […] Pour moi, je vais faire des vœux afin que vous soyez bientôt content. » C’est l’attitude et le langage de ce solennel imbécile de baron dans On ne badine pas avec l’amour, lorsqu’il répond aux supplications passionnées de la pauvre Camille : « Cela me jettera dans le désespoir pour tout le carnaval… Je serai vêtu de noir ; tenez-le pour assuré… Je vais m’enfermer pour m’abandonner à ma douleur ! 

176. (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44

Il est vrai, que l’Auteur qui a senti par avance cette objection, y répond modestement à la fin de son Livre. […] D’autres Critiques plus chagrins que moi, y auraient peut-être plus trouvé à redire que je ne l’ai fait : mais persuadé que je suis, que les sentiments ne sont jamais généraux sur le bon ou le mauvais d’un Ouvrage, je ne voudrais pas répondre que ce Livre n’eût son mérite pour le plus grand nombre ; il est amusant pour les gens qui se contentent de lire sans réflexion.

177. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24

va-t-on me répondre avec dédain ; qui peut avoir fait des sottises pareilles ? […] Sganarelle connoît les différents motifs qui les engagent, & leur répond fort sensément : Tous ces conseils sont admirables assurément ; mais je les trouve un peu intéressés, & trouve que vous conseillez fort bien pour vous. . . . . . . . . . . . . . . . . ainsi, Messieurs & Mesdames, quoique vos conseils soient les meilleurs du monde, vous trouverez bon, s’il vous plaît, que je n’en suive aucun. . . . . .

178. (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567

Au premier plan, un riche et insolent libertin qui veut se donner, pour son argent, le passe-temps d’entendre un pauvre homme blasphémer ; d’une autre part, un valet intéressé qui engage l’homme en guenilles à gagner, à si bon marché, un beau louis d’or : « Va, va, jure un peu ; » puis un honnête mendiant qui, ayant au cœur la crainte de Dieu et le sentiment de sa dignité qu’on insulte, répond, sans déclamation, sans hésitation, simplement, fermement : « Non, monsieur, j’aime mieux mourir de faim. » Que fait alors le libertin ? […] A l’appel du frère de done Elvire, il répond : « Vous savez que je ne manque point de cœur et que je sais me servir de mon épée quand il le faut.

179. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184

Maurice est surpris de ce procédé ; il en demande le sujet à sa sœur : elle répond qu’étant dans la rue, elle a vu Don Carlos qui poursuivoit un homme, à dessein de le tuer ; qu’elle a voulu prévenir ce malheur en cachant l’inconnu. […] Je réponds à cela que si nos mœurs trop indulgentes permettent aux demoiselles de faire à leurs tuteurs mille petites espiégleries pour s’affranchir de leur tyrannie, la bastonnade ne doit pas en être ; la niche est, en conscience, trop forte. […] Oui, j’irai, je vous en réponds. […] Dans l’année 1554, un mari irrité contre sa femme qui vivoit trop familiérement avec un Ecclésiastique, lui fit des remontrances extrêmement vives : cette femme qui n’étoit pas endurante lui répondit sur le même ton.

180. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VI » pp. 50-55

Il répond à Costar : « Je veux des fleurs cueillies per devia rura et un peu plus naturelles,                            Et flores terræ quos ferunt solutæ.

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