Poquelin Molière, découverts et publiés par M. […] Trissotin, dit le Mercure, a donné lieu à ce qui s’en est publié. […] Publié d’après l’édition de Paris, 1670. […] Publié par M. […] Publié par M.
Cependant on lit en tête d’Il Postumio, comédie publiée par Flaminio Scala à Lyon en 1601, un sonnet della signora Diana Ponti, detta Lavinia, comica Desiosa 21. […] Il publia, dans le cours de l’année 1624, un opuscule intitulé Il Teatro celeste, en l’honneur des comédiens qui ont mérité la palme céleste, dei comici martiri e penitenti, della divina bonta chiamati al titolo di beatitudine e di santita .
Et certes il aurait grand tort de le faire, puisqu’il fait profession ouverte de publier en plein Théâtre les vérités de tout le monde. Cette raison m’oblige à publier les siennes plus librement que je ne ferais. […] Il apprit que les gens de qualité ne voulaient rire qu’à leurs dépens, qu’ils voulaient que l’on fît voir leurs défauts en public, qu’ils étaient les plus dociles du monde et qu’ils auraient été bons du temps où l’on faisait pénitence à la porte des Temples, puisque, loin de se fâcher de ce que l’on publiait leurs sottises, ils s’en glorifiaient.
Fouquet, et comblé de ses bienfaits, il donna la tragédie d’Œdipe, qui fut reçue avec de grands applaudissements, malgré les défauts qu’on remarque dans ce poème, et dont l’auteur semble convenir en partie dans l’examen qu’il en a publié. […] « [*]Je ne ferai point comme ceux dont on vient de parler, qui louent et qui blâment excessivement, je dirai la vérité, sans que ce fameux auteur (Molière) s’en doive offenser ; et certes, il aurait grand tort de le faire, puisqu’il fait profession ouverte de publier en plein théâtre les vérités de tout le monde : cette raison m’oblige à publier les siennes plus librement que je ne ferais. […] « Il apprit que les gens de qualité ne voulaient rire qu’à leurs dépens ; qu’ils voulaient que l’on fît voir leurs défauts en public ; qu’ils étaient les plus dociles du monde, et qu’ils auraient été bons du temps où l’on faisait pénitence à la porte des temples, puisque loin de se fâcher de ce que l’on publiait leurs sottises, ils s’en glorifiaient : et de fait, après que l’on eut joué les Précieuses, où ils étaient bien représentés et bien raillés, ils donnèrent eux-mêmes, avec beaucoup d’empressement, à l’auteur dont je vous entretiens, des mémoires de tout ce qui se passait dans le monde et des portraits de leurs propres défauts, et de ceux de leurs meilleurs amis, croyant qu’il y avait de la gloire pour eux que l’on reconnût leurs impertinences dans ses ouvrages, et que l’on dît même qu’il avait voulu parler d’eux : car vous saurez qu’il y a de certains défauts de qualité dont ils font gloire, et qu’ils seraient bien fâchés que l’on crût qu’ils ne les eussent pas. […] Cette pièce enfin a tant fait de bruit que les ennemis même de Molière ont été contraints de publier ses louanges, mais non pas sans faire connaître par leurs discours qu’ils ne le faisaient que de peur de passer pour ridicules.
Ceux qui se sont fait de Julie de Rambouillet une idée romanesque, veulent nous persuader qu’après que le duc de Montausier eut demandé sa main, elle le fit languir treize ans, le soumit à toutes les épreuves imposées aux amours fabuleux des romans du temps, exigea qu’il parcourût, dans toute son étendue, le royaume de Tendre, dont mademoiselle de Scudéry n’eut l’idée et ne publia la carte que dix ans plus tard. […] Elle avait fait des romans ; mais tant qu’elle avait été de la société de Julie de Rambouillet, elle les avait publiés sous le nom de son frère.
Que ne publiaient-ils de nouveaux Mémoires ? […] A la tête de l’édition des œuvres de Molière, publiée en 1682. […] Rousseau, publiées par M. […] Ces notes furent publiées en 1824. […] (Note de la seconde édition publiée en 1837.)
Sans doute l’admiration excessive de l’historien pour le prédécesseur de Louis XV était sincère, et ce n’est point par courtisanerie que, dans un livre publié à Berlin où il s’était réfugié, il exalte avec tant d’enthousiasme un règne dont en France même on commençait à parler avec une certaine liberté ; peut-être n’était-il pas fâché, au contraire, d’opposer le tableau fort embelli de la faveur dont avaient joui jadis les grands écrivains aux persécutions qu’ils éprouvaient de son temps, tout au moins à l’indifférence de Louis XV pour les œuvres de la pensée. […] Etonnez-vous après cela d’y voir figurer Corneille, qui avait, à cette date de 1661, écrit depuis longtemps tous ses chefs-d’œuvre, et Pascal, dont les Provinciales étaient publiées depuis cinq ans ! […] Quant à Boileau, qui s’était déjà, comme Racine, annoncé sous Mazarin, mais qui ne publia que plus tard ses principaux ouvrages, c’est avant tout un critique, épris d’une double passion, l’horreur des mauvais vers, l’amour des bons, se préoccupant uniquement de la poésie, et surtout des finesses et des secrets du métier. […] Rien de mieux sans doute ; mais d’abord l’anecdote est un peu suspecte : c’est MmeCampan qui, la première, l’a racontée dans ses Mémoires, publiés en 1822, un siècle et demi après la mort de Molière, et elle dit la tenir de son père, qui la tenait d’un vieux médecin de la cour… Tout cela ne donne pas à cette histoire un grand air d’authenticité.
En 1802, Cailhava publiait ses études sur Molière. […] Nous voyons, par des actes publiés par M. […] Les actes authentiques ont été publiés par M. […] La pièce fut ainsi publiée au mois d’août 1660. […] Ce document, publié en 1863 par M.
À la fin de la première édition (1772) figurent les Causes de la décadence du théâtre, qui demandent la création d’un second Théâtre-Français et seront rééditées jusqu’en 1802, année où il publie aussi des Essais sur Molière.
Bret a bien publié une édition des œuvres de ce grand comique, avec des notes grammaticales et quelques recherches historiques ; il y a joint aussi des observations de Voltaire sur chaque pièce de l’auteur du Misanthrope ; mais ces observations, composées précipitamment, se ressentent de la rapidité avec laquelle elles ont été faites. […] Mais ayant de publier mon travail, j’ai cru devoir soumettre au public et aux critiques le Discours que j’ai fait sur la Comédie, et qui précédera les Œuvres de Molière. Je publie aussi l’analyse raisonnée du Misanthrope et du Tartuffe qui sont à la tête du commentaire sur ces deux pièces.