Ai-je des ordres à recevoir d’un inhumain, qui a l’ame plus féroce que les animaux les plus cruels ?
Je pourrais encore dire qu’il connaît les Ennemis qu’il a à combattre, qu’il sait l’ordre de la bataille, qu’il ne les attaquera que par des endroits dont il sera sûr de sortir à son honneur, et qu’il se mettra en état de ne recevoir aucun coup qu’il ne puisse parer.
À cet ordre il faut obéir. […] Ordre vint aux Confrères de la Passion de fermer leur théâtre et de ne plus se montrer à l’avenir. […] Non pas, certes, et nous y mettrons bon ordre. […] Il en dit tant, il en fait tant, qu’il reçoit l’ordre de quitter le duché en vingt-quatre heures. […] Ni choix, ni goût, ni méthode ; pas d’ordre et pas de nœud, rien qui se noue et se dénoue.
Vraiment il faudrait être né ennemi de la clarté et du bel ordre pour ne pas suivre en esthétique la ligne droite des conséquences logiques, quand on voit à quel point cette science en est simplifiée. […] Ils se conscient de l’ennui des drames de Destouches en constatant à leur honneur que ce sont des comédies de caractère, et ils rabaissent leur siècle, si fécond en merveilles dans l’ordre du vaudeville, leur siècle qui a produit Le Désespoir de Jocrisse 51, en s’écriant que la grande comédie est morte. […] On reproche à la comédie d’intrigue de sortir de l’ordre naturel des choses, en un mot d’être invraisemblable53.
Il est certain que dans les villes du second ordre, où il y a moins de morgue, moins de faste, tous les états sont plus rapprochés.
Nous n’avions rien à donner, nos vieillards y avoient mis bon ordre.
Jusques-là tout est dans l’ordre.
Afin de venir à bout de ce dessein, il fit faire une lettre au nom de la femme de Charles d’Estampes, lui donnant avis de l’affliction qui lui étoit arrivée d’avoir perdu un bon mari, & lui un si bon frere, disant que son mari avoit laissé quelques legs par son testament, dont il le faisoit exécuteur, & tuteur de ses enfants, le priant de venir en diligence à Paris pour donner ordre à leurs affaires, lui faisant des excuses de ce que cette lettre n’étoit pas écrite de sa main.
Gripaut remet les papiers de la prétendue Comtesse au Chevalier, lui demande de l’argent : celui-ci lui dit qu’il n’a pas ordre de lui en donner.
Il appelle Charles son domestique, lui demande sa chaise & des chevaux ; Charles lui représente qu’il a tort de partir sans prendre congé de Clairville, de Constance, de Rosalie, sur-tout au moment où le pere de cette derniere est sur le point d’arriver, où Rosalie & Clairville se sont flattés de l’avoir pour témoin de leur mariage : d’Orval donne des ordres plus pressants.