L’aliéniste Leuret avait défini le fou: Un homme qui se trompe. […] … Le pauvre homme ! […] c’est un homme qui… Ah !… un homme… un homme enfin!» […] La folie a sa source dans les passions qui aveuglent l’homme.
Y a-t-il grand fond à faire sur un homme qui n’est vertueux que par la crainte d’être moqué ? […] Un être libre, l’homme, ne peut rien faire où elle ne soit intéressée plus ou moins. […] Une telle comédie, faite par un tel homme, dépasse son but malgré elle. […] Cette étude n’est point facile ; car Molière était un habile homme. […] » Perrault, Les Hommes illustres, art.
Ce brillant homme de lettres était un pleutre. […] Les hommes aussi ? […] Dès lors les « le pauvre homme ! […] Et ne faire que cela est une abdication de l’homme comme père de famille, comme citoyen et comme homme. […] Ces hommes prennent ici leur revanche delà.
Mais pour un homme tel que Molière, la Comédie existait dans des ouvrages d’un autre genre. […] Il est l’homme de la vérité. […] On sait, par exemple, que les hommes n’ont guère pour but que leur intérêt dans les conseils qu’ils donnent. […] Homme de Lettres, il connut le monde et la Cour ; ornement de son siècle, il fut protégé ; Philosophe, il fut Comédien. […] Tout devient théâtral dans les mains d’un homme de génie.
C’est Bourdaloue qui est le moraliste, le citoyen, l’homme de bien. […] Ses prédicateurs ont le renom de ses hommes de guerre. […] que je connais bien ces deux hommes-là ! […] Quand il succombe à l’avarice et à la tentation de l’intérêt, c’est un homme qui pèche, mais qui pèche en homme, parce que l’avarice est un dérèglement delà convoitise qui ne convient qu’à l’homme. […] Tous les hommes enfin doivent la guerre à l’impiété.
Et, sans tactique préconçue, entre les hommes sombres et les hommes noirs, Molière passa. […] un homme, ah !… un homme enfin. […] Bel homme ! […] pour être dévot je n’en suis pas moins homme !
L’Honnête Homme. […] oui, lui, l’homme parfait, il est sottement amoureux d’une incorrigible coquette.. […] Nul n’a jugé plus sainement que lui des ouvrages de l’esprit ; nul n’a mieux compris combien ils élèvent et ennoblissent l’homme. […] Que les vers ne soient point votre éternel emploi : Cultivez vos amis ; soyez homme de foi. […] Rousseau : « Vous ne sauriez me nier deux choses, l’une qu’Alceste est dans cette pièce un homme droit, sincère, estimable, un véritable homme de bien ; l’autre, que l’auteur lui donne un personnage ridicule.
À coup sûr, voilà une belle existence pour des hommes sensés ! […] Pauvre homme ! […] Cet homme si faible, qu’il en est lâche ! […] Cet homme volé, c’est lui ! […] L’amour d’un homme pour une femme n’a jamais été plus loin.
Pourquoi des hommes que Molière n’attaquait pas l’attaquèrent-ils lui-même ? […] Le pauvre homme ! […] pour être dévot, je n’en sois pas moins homme. […] Quand il s’agit de littérature, l’opposé d’un homme du monde, c’est un homme de lettres ; et, quand il s’agit de religion, c’est un homme d’église : il n’y a pas une troisième classe d’hommes à placer entre ces deux-là. Le personnage de Molière était donc on homme d’église, puisque, pour le déguiser, il lui prêtait l’ajustement d’un homme du monde.
Ce sont des hommes, dit M. Rambert, mais des hommes simplifiés. […] Toujours il y eut deux hommes en lui. […] Les hommes accourent. […] L’homme de cœur se montre derrière l’homme de sens.