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6. (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136

L’aliéniste Leuret avait défini le fou: Un homme qui se trompe. […] … Le pauvre homme !  […] c’est un homme qui… Ah !… un homme… un homme enfin!» […] La folie a sa source dans les passions qui aveuglent l’homme.

7. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20

Y a-t-il grand fond à faire sur un homme qui n’est vertueux que par la crainte d’être moqué ? […] Un être libre, l’homme, ne peut rien faire où elle ne soit intéressée plus ou moins. […] Une telle comédie, faite par un tel homme, dépasse son but malgré elle. […] Cette étude n’est point facile ; car Molière était un habile homme. […]  » Perrault, Les Hommes illustres, art.

8. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Ce brillant homme de lettres était un pleutre. […] Les hommes aussi ? […] Dès lors les « le pauvre homme !  […] Et ne faire que cela est une abdication de l’homme comme père de famille, comme citoyen et comme homme. […] Ces hommes prennent ici leur revanche delà.

9. (1769) Éloge de Molière pp. 1-35

Mais pour un homme tel que Molière, la Comédie existait dans des ouvrages d’un autre genre. […] Il est l’homme de la vérité. […] On sait, par exemple, que les hommes n’ont guère pour but que leur intérêt dans les conseils qu’ils donnent. […] Homme de Lettres, il connut le monde et la Cour ; ornement de son siècle, il fut protégé ; Philosophe, il fut Comédien. […] Tout devient théâtral dans les mains d’un homme de génie.

10. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

C’est Bourdaloue qui est le moraliste, le citoyen, l’homme de bien. […] Ses prédicateurs ont le renom de ses hommes de guerre. […] que je connais bien ces deux hommes-là !  […] Quand il succombe à l’avarice et à la tentation de l’intérêt, c’est un homme qui pèche, mais qui pèche en homme, parce que l’avarice est un dérèglement delà convoitise qui ne convient qu’à l’homme. […] Tous les hommes enfin doivent la guerre à l’impiété.

11. (1884) Tartuffe pp. 2-78

Et, sans tactique préconçue, entre les hommes sombres et les hommes noirs, Molière passa. […] un homme, ah !… un homme enfin. […] Bel homme ! […] pour être dévot je n’en suis pas moins homme !

12. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64

L’Honnête Homme. […] oui, lui, l’homme parfait, il est sottement amoureux d’une incorrigible coquette.. […] Nul n’a jugé plus sainement que lui des ouvrages de l’esprit ; nul n’a mieux compris combien ils élèvent et ennoblissent l’homme. […] Que les vers ne soient point votre éternel emploi : Cultivez vos amis ; soyez homme de foi. […] Rousseau : « Vous ne sauriez me nier deux choses, l’une qu’Alceste est dans cette pièce un homme droit, sincère, estimable, un véritable homme de bien ; l’autre, que l’auteur lui donne un personnage ridicule.

13. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

À coup sûr, voilà une belle existence pour des hommes sensés ! […] Pauvre homme ! […] Cet homme si faible, qu’il en est lâche ! […] Cet homme volé, c’est lui ! […] L’amour d’un homme pour une femme n’a jamais été plus loin.

14. (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366

Pourquoi des hommes que Molière n’attaquait pas l’attaquèrent-ils lui-même ? […] Le pauvre homme !  […] pour être dévot, je n’en sois pas moins homme. […] Quand il s’agit de littérature, l’opposé d’un homme du monde, c’est un homme de lettres ; et, quand il s’agit de religion, c’est un homme d’église : il n’y a pas une troisième classe d’hommes à placer entre ces deux-là. Le personnage de Molière était donc on homme d’église, puisque, pour le déguiser, il lui prêtait l’ajustement d’un homme du monde.

15. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Ce sont des hommes, dit M. Rambert, mais des hommes simplifiés. […] Toujours il y eut deux hommes en lui. […] Les hommes accourent. […] L’homme de cœur se montre derrière l’homme de sens.

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