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154. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215

La piece n’est pas sans mérite : c’est une folie, une bagatelle qui eut du succès dans le temps : mais ce qui fait réussir une folie, une bagatelle, est ordinairement ce qui nuit à une comédie dans le grand genre.

155. (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13

Quant au genre ennuyeux, vous n’avez plus d’excuse, A moins que cependant l’ennui ne vous amuse ; Alors… La Vieille Thalie.

156. (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302

Il est vrai encore que Lélie ne se donne pas pour le fils de Trufaldin, comme Lisandre pour celui de Manille : mais il y avait intérêt, pour rendre la situation de Lélie plus embarrassante et plus piquante près de Célie, à n’en faire qu’un marchand, qui avait vu ce fils à la fin de son esclavage ; et nous venons de voir qu’un marchand de ce genre était mentionné dans le Parasite.

157. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII.*. M. PIRON. » pp. 277-287

En jugeant les Auteurs morts nous n’avons fait, ou du moins nous sommes censés n’avoir fait, que recueillir les divers sentiments des hommes lettrés & des personnes de goût de toutes les nations : mais de quel droit nous aviserions-nous de prononcer sur les vivants, tandis que la renommée encore incertaine répete confusément ce que les partisans ou les ennemis de leur genre disent tour à tour sur leur compte.

158. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30

La commedia dell’arte La comédie italienne est double, elle se divise en deux genres distincts : la comédie écrite en vers ou en prose ou comédie régulière, et la comédie populaire et improvisée, commedia dell’arte.

159.

C’est dans ce genre qu’il a paru, ces dernières années, quelques productions originales vraiment remarquables et qui permettent de bien augurer de l’avenir du théâtre hollandais. […] L’auteur avait pensé qu’il fallait remplacer le bel esprit du siècle de Louis XIV par une excentricité littéraire d’un autre genre plus hollandais et plus moderne. […] Il nous semble que ce n’est pas son genre. […] Dans plus d’un endroit l’auteur a fort spirituellement remplacé l’image de l’expression française par une image hollandaise du même genre. […] C’est la raison qui fait qu’elle n’a point paru au théâtre depuis longtemps, les comédiens n’étant plus guère en usage d’y remettre les pièces de ce genre. » L’affiche de l’Hôtel de Bourgogne est du mardi 17 décembre ; elle annonce Le Feint Alcibiade, de M. 

160. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445

Dans le volume des Genres, & dans l’article des Pieces intriguées par un événement arrivé avant l’action, je traiterai de la vraisemblance dans l’avant-scene : appliquons-nous à parler présentement de la vraisemblance pendant l’action.

161. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXII. Des Caracteres principaux ou simples, des Caracteres accessoires, des Caracteres composés. » pp. 337-349

Les partisans des caracteres composés ne peuvent m’opposer qu’une seule piece dans ce genre, qui se joue avec succès, c’est le Sage étourdi de Boissy : ce titre nous annonce un personnage qui a deux caracteres tout-à-fait opposés, il faut voir l’effet qu’ils produisent.

162. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479

J’ai entendu dire très sérieusement à des gens fort respectables d’ailleurs : « Si Moliere revenoit, il seroit bien étonné de voir qu’on a trouvé le vrai genre de la comédie ».

163. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250

On n’écrivait que les contrats de mariage ; de lettres, on n’en entendait pas parler. » Vers 1665, parut dans le monde une femme d’un autre genre, moins brillante, mais probablement plus aimable.

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