Ce dernier allant voir cette Dame.
« La facilité de toutes ces dames, dit-il, avait rendu leurs charmes si méprisables, qu’on ne savait plus ce que c’était que les regarder. » De là ces amours à l’italienne décrits par le même auteur, ces amours dont Dangeau a aussi parié dans ses mémoires, et qui ont été longuement décrits dans ceux de la princesse Palatine, d’après les monuments de l’époque : ce sont ces mêmes amours contre lesquels l’éloquence de Bourdaloue a tonné le jour de Noël 1687, dans un sermon prêché devant le roi, qui le lendemain exila plusieurs jeunes gens de la cour : ait cité dans l’Abrégé chronologique du président Hénault.
Je m’enferme dans celle qu’a soulevée au théâtre l’incident de ces dames, quittant la place au mot dont Molière, après Rabelais, stigmatise le mari trompé. […] — Dame ! […] dame, alors, il ne vous reste plus qu’à replier les voiles, à vous retirer dans les lieux communs de la conversation générale, et à prendre congé en saluant. […] Nous voyons par Saint-Simon que la cour la plus polie de l’univers s’amusait de cette façon aux dépens de je ne sais quelle dame qu’on avait prise en grippe. […] Il a même donné chez les dames romaines.
Dans le reste de l’acte, Jarvis arrête à la porte un créancier de son maître dont la vue chagrineroit les Dames, & s’engage à le payer.
En toute cette rue, Que j’ai cent & cent fois visitée & courue, Il ne logea jamais Dame de qualité, Ni fille de mérite ou de rare beauté, Qui méritât d’un Comte être galantisée.
Cet enseignement, qui devient sérieux presque jusqu’au tragique, se retrouve tout comique, mais non moins formel, dans le dévouement de Mme Jourdain pour son fou de mari515 ; et certes c’est elle, si peu gracieuse qu’elle soit, qui a le beau rôle, quand elle dit à la belle marquise Dorimène, qu’elle trouve en partie fine chez son mari : « Pour une grande dame, cela n’est ni beau ni honnête à vous, de mettre de la dissension dans un ménage, et de souffrir que mon mari soit amoureux de vous516. » Il n’y a pas à hésiter sur l’opinion ni sur l’influence de Molière en fait de mariage : le mariage est une chose sainte à laquelle sont obligés les honnêtes gens qui s’aiment ; c’est un lien honnête : — Mais doux ?
C’est une vérité reconnue même des savants, j’entends les savants qui se piquent de quelque galanterie, que les années ont plus de douze mois pour les dames. […] Cependant un amant plairait fort à la dame, Et même pour Alceste elle a tendresse d’âme.
Une dame, alors belle, bien faite, mere d’une très jolie actrice, donna une petite piece.
J’ai un secret merveilleux pour rafraîchir les Dames.
Souvenez-vous de la Dame que vous avez envoyée en l’autre monde il y a trois jours.