/ 153
101. (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26

Ce dernier allant voir cette Dame.

102. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278

« La facilité de toutes ces dames, dit-il, avait rendu leurs charmes si méprisables, qu’on ne savait plus ce que c’était que les regarder. » De là ces amours à l’italienne décrits par le même auteur, ces amours dont Dangeau a aussi parié dans ses mémoires, et qui ont été longuement décrits dans ceux de la princesse Palatine, d’après les monuments de l’époque : ce sont ces mêmes amours contre lesquels l’éloquence de Bourdaloue a tonné le jour de Noël 1687, dans un sermon prêché devant le roi, qui le lendemain exila plusieurs jeunes gens de la cour : ait cité dans l’Abrégé chronologique du président Hénault.

103. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Je m’enferme dans celle qu’a soulevée au théâtre l’incident de ces dames, quittant la place au mot dont Molière, après Rabelais, stigmatise le mari trompé. […] — Dame ! […] dame, alors, il ne vous reste plus qu’à replier les voiles, à vous retirer dans les lieux communs de la conversation générale, et à prendre congé en saluant. […] Nous voyons par Saint-Simon que la cour la plus polie de l’univers s’amusait de cette façon aux dépens de je ne sais quelle dame qu’on avait prise en grippe. […] Il a même donné chez les dames romaines.

104. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353

Dans le reste de l’acte, Jarvis arrête à la porte un créancier de son maître dont la vue chagrineroit les Dames, & s’engage à le payer.

105. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462

En toute cette rue, Que j’ai cent & cent fois visitée & courue, Il ne logea jamais Dame de qualité, Ni fille de mérite ou de rare beauté, Qui méritât d’un Comte être galantisée.

106. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165

Cet enseignement, qui devient sérieux presque jusqu’au tragique, se retrouve tout comique, mais non moins formel, dans le dévouement de Mme Jourdain pour son fou de mari515 ; et certes c’est elle, si peu gracieuse qu’elle soit, qui a le beau rôle, quand elle dit à la belle marquise Dorimène, qu’elle trouve en partie fine chez son mari : « Pour une grande dame, cela n’est ni beau ni honnête à vous, de mettre de la dissension dans un ménage, et de souffrir que mon mari soit amoureux de vous516. »   Il n’y a pas à hésiter sur l’opinion ni sur l’influence de Molière en fait de mariage : le mariage est une chose sainte à laquelle sont obligés les honnêtes gens qui s’aiment ; c’est un lien honnête : — Mais doux ? 

107. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

C’est une vérité reconnue même des savants, j’entends les savants qui se piquent de quelque galanterie, que les années ont plus de douze mois pour les dames. […] Cependant un amant plairait fort à la dame, Et même pour Alceste elle a tendresse d’âme.

108. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138

Une dame, alors belle, bien faite, mere d’une très jolie actrice, donna une petite piece.

109. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441

J’ai un secret merveilleux pour rafraîchir les Dames.

110. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273

Souvenez-vous de la Dame que vous avez envoyée en l’autre monde il y a trois jours.

/ 153