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100. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302

D’après cela, supposons que nous voulions mettre un homme de finance sur notre théâtre : si nous ne le présentons que par le bon côté, c’est-à-dire faisant, comme plusieurs de nos Financiers, tout le bien possible, protégeant réellement les talents, soulageant les misérables de leurs terres, nous ne peindrons que l’honnête homme riche ; nous aurons l’air de solliciter un emploi, ou un couvert à une bonne table, & nous ne ferons pas une comédie.

101. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19

  Tout le monde connoît l’Etourdi ou les Contre-temps de Moliere ; & tout le monde peut voir, d’après l’extrait de la Piece Italienne, que Moliere en a pris presque tous ses matériaux.

102. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99

Ne croiroit-on pas, d’après MM. 

103. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58

Nous donnons ici le dessin de l’Arlequin Simone de Bologne, d’après l’auteur de l’Histoire du Théâtre italien.

104. (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376

  On peut constater, d’après les états des dépenses de la cour, que, pendant qu’elle séjournait à Saint-Germain, à Fontainebleau, il y avait comédie plusieurs fois la semaine, et que les Italiens à cette époque alternaient à peu près régulièrement, sur le théâtre de ces résidences royales, avec les troupes françaises ou avec la troupe française, quand il n’y en eut plus qu’une à partir du mois d’octobre 1680.

105. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297

Tous les biographes81 s’accordent, avec raison, à dire, d’après la correspondance de madame de Maintenon, que, « parvenue aux grandeurs, elle se trouva si importunée des respects que son nouvel état inspirait au directeur, qu’elle crut devoir donner sa confiance à un autre ».

106. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143

Concluons donc, d’après l’Auteur Anglois, que Moliere en l’imaginant a fait la critique de tous les faiseurs de projets.

107. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184

D’Ancourt l’a faite d’après le Traître puni, comédie en cinq actes en prose, traduite de l’espagnol par le Sage. […] oui, dès le lendemain ; & le jour d’après il m’envoya une tapisserie de brocatelle aurore & verd, avec un canapé de même étoffe.

108. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441

C’est d’après la même histoire que M. 

109. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488

Cette piece, composée d’après tant d’ouvrages différents, parut pour la premiere fois à Paris, sur le théâtre du Palais Royal, le 2 Mai 1671. […] La scene huitieme du deuxieme acte des Fourberies de Scapin est faite d’après celle-ci.

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