/ 192
139. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. Des Comédies Allégoriques. » pp. 75-90

Mais que Rosette Me jure aussi, de bonne foi, Et, de son côté, me promette De n’en laisser cueillir qu’à moi.

140. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366

Il a dit lui-même, dans la premiere scene de ses Femmes Savantes : Quand sur une personne on prétend se régler, C’est par les beaux côtés qu’il lui faut ressembler : Et ce n’est point du tout la prendre pour modele, Ma sœur, que de tousser & de cracher comme elle.

141. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327

En se promenant il marche sur sa perruque, & la pousse à côté.

142. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70

Camille de son côté a vu Arlequin avec Eléonora, est devenue jalouse, & paroît avec une autre épée.

143. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102

On vient, tout exprès chez cette beauté à la Mode, pour la voir, tout exprès pour l’entendre ; elle, de son côté, elle ne songe qu’à montrer beaucoup d’esprit et un charmant visage ; quant au cœur, peu lui importe !

144. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354

Tous mes petits princes y sont établis, et je crois pour toujours : cela, comme toute autre chose, a son bon et son mauvais côté : je suis assez contente.

145. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261

Nous avons comparé les deux Auteurs ; qu’on mette maintenant à côté d’eux Baron, il paroîtra certainement bien petit. […] Arlequin ne devine pas que la Princesse veut le faire asseoir à côté d’elle : il est surpris qu’elle ait besoin de deux sieges, il lui dit de prendre garde au proverbe26.

146. (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33

… Il venait d’expirer, Lorsqu’au pied de sa couche une femme éperdue Accourt, se précipite, et, tombant étendue Près de ce corps sans vie, elle fait retentir Des sanglots où se mêle un tardif repentir ; Puis, à côté des sœurs se mettant en prière, Elle pleure à genoux celui qui fut Molière ! […] Pradier, notre célèbre sculpteur, et représentant : une, la hante comédie, et l’autre la comédie lyrique, sont placées de chaque côté de ce piédestal, qui est couronné par la statue en bronze du grand poète assis, due au ciseau de M.

147. (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347

Voici que sa raillerie devient de plus en plus mordante, et Gassendi, qui ne veut pas admettre la circulation du sang, est mis à côté des Diafoirus, père et fils, et de tous ceux qui refusent « d’écouter les raisons et les expériences des prétendues découvertes du siècle, touchant la circulation du sang, et autres opinions de même farine (43). » Est-ce assez fort ? […] Nous n’avons vu encore qu’un côté, et, j’ose dire, le moins intéressant de la question qui nous occupe.

148. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434

Il n’est pas le mariage, il n’est pas le célibat, il tient au célibat par ses côtés honteux, il tient au mariage par ses inquiétudes et ses ennuis. […] L’homme, de son côté, tout honteux d’être si ému, s’était retourné contre la muraille, et il tenait sa tête dans ses mains ; ses épais cheveux, mal en ordre, retombaient sur ses mains, et il pleurait. […] Les jeunes gens se hâtaient pour en conserver la mémoire ; les vieillards venaient chercher à ses pieds quelques souvenirs de ces belles traditions par lesquelles mademoiselle Mars se rattachait à Préville, à Molé, à Fleury, à Saint-Prix, à la grande Contat, à la grande comédie ; les deux écoles dramatiques (mademoiselle Mars, pareille aux Sabines, a assisté à ce combat des Romains et des peuples sabins, combat dans lequel les Romains furent vaincus) appelaient à leur aide, chacune de son côté, cette force irrésistible… Soudain tout ce mouvement s’arrête, et tout ce bruit fait silence… Mademoiselle Mars n’est plus au théâtre, tout est dit.

/ 192