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142. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302

L’Avocat Vénitien, de Goldoni, plaide contre celle qu’il doit épouser, lui fait perdre tout son bien, & lui donne la main.

143. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316

Géronte vient sur la scene remercier Damis de l’avoir débarrassé d’un fourbe, admire le fruit qu’il a retiré de ses voyages, & lui donne par écrit son consentement pour épouser Julie.

144. (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26

Pardonnez-moi, répondit le Comte, qui devinoit leur intention, j’ai oublié d’épouser votre sœur, & j’y retourne avec vous pour finir cette affaire.

145. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IV. Jugement sur les Hommes de Molière. » pp. 65-82

V des Maximes et Réflexions sur la Comédie de Bossuet : Si la comédie d’aujourd’hui purifie l’amour sensuel en le faisant aboutir au mariage : «  Encore que vous ôtiez en apparence à l’amour profane ce grossier et cet illicite dont on auroit honte, etc. » Ce n’est que par convenance que la belle marquise finit par épouser Dorante.

146. (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320

Elle épousa le sieur de Montalan, Gentilhomme, qui a été pendant quelque tems Organiste de l’Eglise de saint André des Arcs.

147. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308

Le Lord Comte de Clarandon voit dans le pays de Galles, Eugénie, fille du Baron Hartley, en devient amoureux, & s’insinue si bien dans l’esprit de Madame Murer, tante de sa maîtresse, qu’elle lui permet d’épouser sa niece en secret, même à l’insu du pere.

148. (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314

C’était une femme altière, et peu raisonnable, lorsqu’on n’adhérait pas à ses sentiments ; elle aimait mieux être l’amie de Molière que sa belle-mère : ainsi il aurait tout gâté de lui déclarer le dessein qu’il avait d’épouser sa fille. […] Mais comme elle l’observait de fort près, il ne put consommer son mariage pendant plus de neuf mois ; c’eût été risquer un éclat qu’il voulait éviter sur toutes choses, d’autant plus que la Béjart, qui le soupçonnait de quelque dessein sur sa fille, le menaçait souvent en femme furieuse et extravagante, de le perdre, lui, sa fille, et elle-même, si jamais il pensait à l’épouser. […] Mais cet éclaircissement causa un vacarme terrible ; la mère donna des marques de fureur et de désespoir, comme si Molière avait épousé sa rivale ; ou comme si sa fille fût tombée entre les mains d’un malheureux. Néanmoins, il fallut bien s’apaiser, il n’y avait point de remède ; et la raison fit entendre à la Béjart, que le plus grand bonheur qui pût arriver à sa fille, était d’avoir épousé Molière, qui perdit par ce mariage tout l’agrément que son mérite et sa fortune pouvaient lui procurer, s’il avait été assez Philosophe pour se passer d’une femme.

149. (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20

Arnolphe dit bien, il est vrai, à Chrysale son ami : Épouser une sotte est, pour n’être pas sot, Je crois, en bon chrétien, votre moitié fort sage Mais une femme habile est un mauvais présage.

150. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421

Et, de grace, en quels lieux Aviez-vous épousé ce chef-d’œuvre des cieux ?

151. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41

Dorine répond sur le même ton à Mariane, qui aime mieux se donner la mort que d’épouser Tartuffe : Fort bien : c’est un recours où je ne songeois pas ; Vous n’avez qu’à mourir pour sortir d’embarras : Le remède sans doute est merveilleux !

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