/ 188
92. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Je tiens pour la vieille maxime, qu’une pièce doit être vue aux chandelles. […] je crois bien vous avoir vues aussi… Eh ! oui, je vous ai vues à l’ouverture des Bouff. […] Mais mon métier n’est pas de rendre l’ouïe aux sourds, ni la vue aux aveugles-nés. […] C’est la Dorimène de Molière, telle qu’il l’a vue et représentée sur la scène.

/ 188