Alceste avoue, en effet, Oui, oui, je l’ai perdu… mais c’est votre faute, c’est … lorsque dans votre vue J’ai pris pour mon malheur le poison qui me tue Et que j’ai cru trouver quelque sincérité Dans les traîtres appas dont je fus enchanté.
Alceste avoue, en effet, Oui, oui, je l’ai perdu… mais c’est votre faute, c’est … lorsque dans votre vue J’ai pris pour mon malheur le poison qui me tue Et que j’ai cru trouver quelque sincérité Dans les traîtres appas dont je fus enchanté.