— Déclamez pour moi votre tirade la plus amoureuse, ma chère fille ; pour moi qui vous ai vue naître et grandir. […] Acceptez donc cette Thaïs telle que le poète l’a vue et telle qu’il la représente. […] — Notre jeune homme l’a perdue de vue ? […] Laissez mourir la génération qui les a vues naître, laissez-les arriver à leur seconde jeunesse et cette jeunesse ne finira plus. […] dit Pasquin, il y a quinze mois que vous ne l’avez vue !