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11. (1663) Nouvelles nouvelles pp. 210-243

Ensuite il fit Le Dépit amoureux, qui valait beaucoup moins que la première, mais qui réussit toutefois à cause d’une Scène qui plut à tout le monde et qui fut vue comme un tableau naturellement représenté de certains dépits qui prennent souvent à ceux qui s’aiment le mieux. […] Tous ceux qui l’ont vue sont demeurés d’accord qu’elle est mal nommée et que c’est plutôt L’École des maris que L’École des femmes. […] Aussi cette comé die n’a-t-elle pas fait comme celles qui éblouissaient d’abord et qui ne laissent à ceux qui les ont vues que le dépit d’avoir été trompés et de les avoir approuvées.

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