Puisqu’entre humains ainsi vous vivez en vrais loups, Traîtres, vous ne m’aurez de ma vie avec vous. […] Il est vrai que c’est une des sources comiques les plus fécondes. […] Ce n’est pas l’usage des drames ni des romans de donner beaucoup de place au devoir : sous ce rapport, Molière a le mérite et l’honneur d’être plus moral et plus vrai. […] C’est la vraie grandeur de l’homme, car la vraie pensée est celle qui reste palme et maîtresse210. […] C’est puéril et faux : Molière n’a pas plus nié la médecine que la religion ou la vertu : il a distingué la vraie de la fausse.