À la première représentation, après la lecture du sonnet d’Oronte, ainsi conçu : L’espoir, il est vrai, nous soulage, Et nous berce un temps notre ennemi, Mais, Philis, le triste avantage, Lorsque rien ne marche après lui !
À la première représentation, après la lecture du sonnet d’Oronte, ainsi conçu : L’espoir, il est vrai, nous soulage, Et nous berce un temps notre ennemi, Mais, Philis, le triste avantage, Lorsque rien ne marche après lui !