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80. (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89

Une voix sourde, des inflexions dures, une volubilité de langue qui précipitoit trop sa déclamation, le rendoient, de ce côté, fort inférieur aux acteurs de l’Hôtel de Bourgogne. […] Elle avoit de la voix, et chantoit ordinairement avec la Grange dans le second acte du Malade imaginaire 156. […] C’étoit un petit homme qui jouoit les seconds rôles comiques, et les jouoit très-bien ; il avoit la voix claire, légère, et beaucoup de finesse dans son jeu.

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