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4. (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914

Quand il parle à Célimène de sa tendresse, sa voix devrait s’adoucir. […] Sa voix est toujours la même, toujours mordante, souvent un peu aigre. […] Geffroy d’assouplir, d’attendrir sa voix. […] Son regard, son sourire, l’accent de sa voix, la rendent presque aussi coupable que son interlocuteur. […] Si quelqu’un se permet d’élever la voix, on le traite d’original, et pour bien des gens, c’est un cruel reproche.

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