L’eau, que ce vain travail tourmente tant de fois, Semble accuser des Dieux les inégales loix, Et redire, en tombant, d’une voix gémissante, Pourquoi souffré-je tant, moi qui suis innocente ?
L’eau, que ce vain travail tourmente tant de fois, Semble accuser des Dieux les inégales loix, Et redire, en tombant, d’une voix gémissante, Pourquoi souffré-je tant, moi qui suis innocente ?