Bien qu’avec pleine tendresse Myrtil me puisse chérir, Avec toi je le confesse ; Je voudrais vivre et mourir. […] Plus jamais aimons-nous, Et vivons et mourons en des liens si doux. […] Quand je plaisais à ma bergère, Je vivais dans les plaisirs.
Bien qu’avec pleine tendresse Myrtil me puisse chérir, Avec toi je le confesse ; Je voudrais vivre et mourir. […] Plus jamais aimons-nous, Et vivons et mourons en des liens si doux. […] Quand je plaisais à ma bergère, Je vivais dans les plaisirs.