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3. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [80, p. 121-126] »

Bien qu’avec pleine tendresse Myrtil me puisse chérir, Avec toi je le confesse ; Je voudrais vivre et mourir. […] Plus jamais aimons-nous, Et vivons et mourons en des liens si doux. […] Quand je plaisais à ma bergère, Je vivais dans les plaisirs.

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