L’esprit populaire et parisien vivait en lui. […] Puis, lorsque son esprit errant de livre en livre, Manque enfin de pâture… alors il songe à vivre, Et la vie apparaît à son cœur de vingt ans Belle, riche, éternelle : il est maître du temps ! […] Enfin, si tu vivais de nos jours, ô Molière, Tu maudirais surtout, de ta voix rude et fière, L’amour de l’or, ardente et vile passion Qui consume et qui perd la génération ! […] Je sens bien que je finis, mais il y a là cinquante pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour vivre, que feront-ils si je ne joue pas. […] Cette enfant qui portait le nom de Louis ne vécut pas.