Fruits de l’automne, de la chasse, du commerce, rien ne m’appartient plus; mais si tu veux vivre avec moi dans mon ciel, il te sera ouvert toutes les fois que tu viendras. » Tel a donc été le lot du poète. […] Dans tous les siècles, il y a des laboureurs qui ne songent qu’aux fruits de la terre, des marchands uniquement occupés de remplir leurs magasins, des abbés plus soucieux de remplir les celliers du monastère que du salut de leurs vignerons, des Rois qui vivent moins pour le bonheur de leurs peuples que pour celui de percevoir l’impôt.