Ce n’est pas que ses pièces soient régulières, il s’en faut de beaucoup; ce ne sont pas même de véritables drames, puisqu’il n’y a ni plan ni action : ce sont des scènes détachées qui en font tout le mérite, et ce mérite a suffi pour les faire vivre. […] Mais s’il y a des ouvrages qu’une seule scène a fait vivre au théâtre, ils y traînent d’ordinaire une existence bien languissante, et il y en a peu d’aussi abandonnés que Démocrite.