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97. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

De là naquit un jargon précieux, qui ne tarda pas à envahir la cour et la ville, et que Molière s’avisa de tourner en ridicule, lui, le nouveau venu, à peine encore établi. […] La fureur de rimer gâtait tout le monde à la cour à la ville. […] En ce temps, il y avait la ville et la cour, deux pays voisins, mais de mœurs différentes, et ordinairement à l’état d’hostilité ! […] A partir de ce moment, Dancourt devint acteur et auteur, et se fit distinguer de la ville et de la cour dans ces deux professions. […] La ville seule riait de ses naïfs et spirituels tableaux.

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