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95. (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129

L’édition de 1682, publiée par La Grange, acteur de la troupe de Molière, et par Vinot, ami du poète, a été l’objet des plus vives critiques. […] Mais le moyen de se débarrasser d’un jeune homme aussi insinuant, aussi vif, aussi gascon que Cyrano ? […] La diversité de caractères dont cette pièce est remplie, et la nature que l’on y voyait peinte avec des traits si vifs, enlevaient tous les applaudissements du public. […] « D’être avec vous le reste de mes jours, lui répondit Baron, pour vous marquer ma vive reconnaissance de toutes les bontés que vous avez pour moi. — Hé bien ! […] Molière était vif quand on l’attaquait.

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