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18. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Ce sont de vives ébauches qu’il reprendra plus tard, et dont il fera des tableaux. […] Quoique blessé au plus vif de sa vanité et un peu au cœur, car il aime Agnès, il s’aveugle sur ses ressources, sur son expérience. […] Dans une contrariété vive et présente, on peut tirer quelque soulagement d’une autre passion ; mais un aphorisme de morale n’y peut rien. […] Avez-vous jamais vu, madame, un diamant plus vif que celui que vous voyez que mon père a au doigt ? […] De la sorte, tout sert à la gloire de ce grand homme, jusqu’au travers d’Oronte, qui, lorsqu’il est auteur, écrit le fameux sonnet, et, lorsqu’il le défend, parle un français aussi vif et aussi naturel que celui d’Alceste.

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