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13. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

En sa qualité de majesté détrônée, Nicolas Joubert inspirait de vives sympathies. […] Les uns criaient : Vive Godard ! […] Son souvenir est toujours bienveillant ; mais il est moins vif et moins chaud. […] Vive Dieu ! […] Une fois bénis, les voilà mariés, et vive la joie !

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