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112. (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13

II faut que chacun vive ; et puisque Marivaux, Monsieur Lanoue, enfin, mes illustres rivaux, Vous nourrissent si bien de leurs vers, de leur prose, De madrigaux glacés, de fadeurs à la rose, De petits riens sucrés et de pavot confit, Vous aimez le repos, tout cela vous suffit.

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